Il est dimanche, 9h. Une jeune femme vient toquer à la porte du dispensaire de Talhuen. «Mon mari ne va pas bien, il faut m’aider». Stéthoscope et saturomètre en main, je la suis au milieu des maisons sur pilotis. Elle me montre un homme allongé. Dyspnée, fièvre, sueurs, malaise… Il sera gardé quelques heures au dispensaire avant d’être transféré à Maripasoula en pirogue. Je dis bien pirogue.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.