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                    - suivie par 46 abonnés Violences sexuelles : la justice défaillante
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Ses billets de blog
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                «Bon plan»: passe-droit pour violerMon psy-violeur n’exécutera pas sa peine tant que la décision de la cassation n’aura pas été prise. Cela signifie qu’aujourd’hui encore, il exerce « tranquillou », sans bracelet électronique, dans le cabinet où il m’a violée.
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                Lettre ouverte à mon psy-violeur (suite) 9«Tu vivais là, au milieu de mes pensées depuis plus de quatre ans, dans ce que tu avais laissé en friche, tu avais posé ton énorme fauteuil au milieu de mes blessures et tu t’y étais assis, un verre à la main, tu contemplais ton œuvre : mon chaos.»
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                Lettre ouverte à mon psy-violeur (suite) 8"Alors, cap ou pas cap, d’inscrire dans la loi que des relations sexuelles psy-patient, pendant la thérapie, relèvent d’un abus de confiance évident et doivent être considérées comme des viols ?"
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                Lettre ouverte à mon psy-violeur (suite) 7Tu vois, ce qui reste bien amer dans le fait que tu puisses encore exercer, c’est que finalement, ça me rend à moitié responsable de ta « bêtise ». Finalement, le problème ne serait ni ton incompétence ni ta perversion, mais le fait que ce soit moi qui me sois retrouvée là, devant toi. Comme si c’était juste « mal tombé ».
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                Lettre ouverte à mon psy-violeur (suite) 6«Ce que je sais aujourd’hui, c’est qu’avec des mots, ont peut bâtir des prisons. Comme la justice fait défaut sur ce point, je pose ici quelques barreaux.»
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                        Édition Violences sexuelles : la justice défaillante        
    
                Si j’avais su, je n’aurais pas porté plainteÀ la limite, la seule chose qui me porte un peu, c’est de me dire qu’en portant plainte, à force de procédures absurdes, du sens finira par apparaître et le juste naîtra de toute cette absurdité.
 
                 
             
            