Le blog de Aksavavit

On attaque bientôt le sixième mois d'une épidémie qui a fait 30 000 morts dans le monde entier, 20 fois moins que la grippe chaque année. Et c'est pour ça qu'on enferme tout le monde et que l'économie mondiale s'arrête ? Calmez-vous, bonnes gens.

Nous entrons dans le cinquième mois de l'épidémie de Covid-19. En l'absence de tests sur des populations témoins on ignore la proportion de la population infectée. Et 24 000 morts au bout de cinq mois, c'est statistiquement bien peu.

Le blogueur libertarien Gary Barnett dénonce l'emprise totale de l'Etat et des médias sur nos consciences, qui ne s'arrêtera pas avec la fin de l'épidémie. C'est une guerre contre les peuples.Tout ça pour un virus qui a tué quelques milliers de personnes parmi la dizaine de millions de décès normaux dans le monde en un trimestre.

Ian Henderson et "Alex" sont les deux premiers lanceurs d'alerte membres de la mission de l'OIAC chargée d'enquêter sur l'attaque chimique à Douma (Syrie) ayant donné lieu à des bombardements de représailles contre Damas de la part des Etats-Unis et de la France. Ils répondent aux allégations diffamatoires à leur encontre de la direction de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.

Le journaliste Eric S. Margolis connaît l'Asie du Sud, son histoire moderne et ses dirigeants comme sa poche. Il en dit plus long que tout autre sur les mensonges américains. US go home !

Ne jamais laisser une bonne crise se perdre... L'analyse du blogueur libertarien James Corbett.

Permettre aux puissants d'emprisonner ceux qui exposent leurs crimes en pleine lumière serait la fin de tout état de droit. Un article de la journaliste américaine Caitlin Johnstone.

Ian Henderson, l'inspecteur sud-africain de l'OIAC sur le terrain qui contredit depuis le printemps dernier les conclusions de l'Organisation a été entendu par le Conseil de sécurité de l'ONU.

S'appuyant sur un rapport du Pentagone révélé par le «Washington Post», le journaliste américain Eric S. Margolis fustige le gouvernement étasunien et adresse son salut admiratif d'ancien soldat aux combattants afghans qui résistent depuis dix-huit ans à l'énorme machine de guerre des Etats-Unis.

Dans le billet précédent, j'ai dit tout le bien que je pensais des hôpitaux, des médecins et des soignants qui m'ont sauvé la vie plus d'une fois et réappris à vivre avec une paire de jambes inertes, ce qui est mieux que pas du tout. Là je vais être un peu moins gentil, parce qu'il y a aussi de quoi. Et pas qu'un peu.