Journaliste (longsformats.com), auteur de "Ces 600 milliards qui manquent à la France" (Seuil, 2012), "Corruption" (Seuil, 2014), "Résistance !" (Seuil, 2016), "Cœur de boxeur" (LLL, 2019)...
Paris - France
Ésaïe 21:11-12 : Proclamation sur Douma. On me crie de Séïr : "Veilleur, où en est la nuit ? Veilleur, où en est la nuit ?" Le veilleur répond : "Le matin vient et de nouveau la nuit."
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* Extrait de "Ces 600 milliards..." (introduction) : http://www.seuil.com/extraits/9782021081220.pdf* Antoine Peillon http://www.rts.ch/video/info/journal-19h30/3878730-selon-un-ouvrage-a-paraitre-lundi-en-suisse-la-banque-ubs-inciterait-massivement-les-francais-a-frauder-le-fisc.htmlLe journal du Dimanche - Selon un ouvrage à paraître lundi en Suisse, la banque UBS inciterait massiwww.rts.chLes techniques, révélées dans l'ouvrage, font écho à celles qui étaient largement utilisées aux Etats-Unis. Ces nouvelles révélations chargent une fois de plus UBS.* Soir 3 (France 3) du 10/04/2012 : http://www.pluzz.fr/soir-3-2012-04-10-22h15.html (10e minute et 7 secondes...)* Les choix de France Info - matinEvasion fiscale : ces "600 milliards qui manquent à la France"http://www.franceinfo.fr/economie/les-choix-de-france-info-matin/evasion-fiscale-ces-600-milliards-qui-manquent-a-la-france-576577-2012-04-04* http://www.rts.ch/video/info/journal-19h30/3878718-soupcons-a-l-encontre-d-ubs-entretiens-avec-antoine-peillon-auteur-de-l-ouvrage-a-paraitre-et-avec-jean-raphael-fontannaz-porte-parole-d-ubs.htmlLe journal du Dimanche - Soupçons à l'encontre d'UBS: entretiens avec Antoine Peillon, auteur de l'owww.rts.ch* http://jt.france2.fr/20h/ L'évasion fiscale, entre la 21e et la 25e minute du JT.Actualités - France 2 : info en direct, jt, politique, économie, société... - France 2jt.france2.frFrance2.fr : toute l’actualité en France et dans le monde en direct, vidéos, news et dépêches de l’actu politique, économique, sociale, culturelle et des médias.
« Je suis parti, en historien, sur les traces des grands-parents que je n’ai pas eus. » C’est la première phrase du livre d’Ivan Jablonka, la phrase générative. Il aurait pu écrire, tout aussi justement : « Je suis parti, en petit-fils, sur les traces de l’histoire. » Surtout quand l’histoire, dans son pire moment, n’a laissé presqu’aucune trace de celles et ceux qu’elle a broyés, réduits en cendres, « pulvérisés », écrit l’auteur.
SUR LE SITE INTERNET d'ARTE : http://www.arte.tv/fr/Echappees-culturelles/Le-Proces-Celine/4194382.htmlDe « révolution littéraire » à « petite musique », le style de Louis-Ferdinand Céline bénéficie, depuis son Voyage au bout de la nuit (1932), de formules d’encensement qui frisent, parfois, l’adulation hystérique. Citons Gaëtan Picon, par ailleurs excellent critique d’art, qui lit – positivement - dans Le Voyage « l’un des cris les plus insoutenables que l’homme ait jamais poussé ». Certes, lors de la parution de Mort à crédit, en 1936, qui consacre l’usage, par Céline, de l’argot, de phrases tronquées, exclamatives et syncopées par la multiplication des trois points de suspensions, et qui précipite encore un peu plus le lecteur dans une perspective péjorative, voire nihiliste, de la vie, quelques supporters du Céline de la première heure ravalent, plus ou moins tardivement, leurs applaudissements en première lecture. Dès lors, Elie Faure, le grand historien de l’art, estime que l’écrivain « piétine dans la merde », tandis que Simone de Beauvoir affirme, en 1960, qu’elle-même et son compagnon Jean-Paul Sartre avaient relevé dans Mort à crédit « un certain mépris des petites gens qui est une attitude préfasciste »… André Breton, quant à lui, exprimait en janvier 1950 son « écœurement » à la lecture du premier tiers du Voyage, déjà…