Depuis la présentation du plan de relance par Jean Castex le 3 septembre dernier, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili tente de convaincre : en plus des 30 milliards d'euros destinés à la transition, c'est l'ensemble du plan de relance qui serait écolo-compatible. Répéter à satiété une contrevérité, et incriminer les ONG, n'en fait pourtant pas une vérité. Explications.
Pour sa 18e édition, Images mouvementées, le festival de cinéma d’Attac, se positionne « contre la violence des dominants ». Des films et des débats contre les violences policières (dans les quartiers populaires, envers les manifestant·e·s ou en direction des migrant·e·s), contre les maltraitances gynécologiques et obstétricales et contre la destruction de l’hôpital public.
Avec Ines Seddiki, association Ghett’Up (Seine Saint-Denis) ; Diangou Traoré, collectif Francs-Moisins (Saint-Denis) ; Jean-Baptiste Eyraud, DAL - Droit Au Logement
Avec la pandémie, le mot « relocalisation » est désormais dans toutes les bouches. Minimaliste et cosmétique dans sa version néolibérale, haineuse dans sa version nationaliste, la relocalisation peut aussi être écologique et solidaire.
Dans un texte de blog récent, Henri Sterdyniak a trouvé des boucs émissaires parmi les économistes s’opposant au néolibéralisme, qu’il accuse de développer une « fake theory ».
À quelque chose malheur est bon. La crise sanitaire n’échappe pas à cette règle. En tout cas pour les économistes qui n’ont pas l’habitude d’être trop critiques pour l’organisation économique.
Le gouvernement refuse tout « retour » d’un impôt sur le patrimoine des plus fortunés. Il est donc essentiel de répondre à ses arguments et à ceux des opposants à cette proposition.