Petit à petit, le tabac à chauffer fait son apparition chez les buralistes français. Cet hybride entre tabac à fumer et vapoteuse permet une réduction significative des risques pour la santé par rapport à la cigarette traditionnelle, mais n’en demeure pas moins nocif. Tour d’horizon du tabac à chauffer.
Un article paru ce matin dans La Lettre A, nous apprend que d’éminents professeurs retraités, comme les très médiatiques André Grimaldi et Bertrand Dautzenberg, continuent, bien qu’ils n’exercent plus la médecine, à jouir de privilèges liés à leurs anciennes fonctions au sein de l’hôpital public. A l’heure où le personnel soignant est soumis à des rythmes invivables, au nom de coupes budgétaires à
Et si les pouvoirs publics appréhendaient l’ensemble des problèmes environnementaux et de santé publique à travers une stratégie de réduction des risques ? C’est le point de vue défendu par Jacques Fradin, spécialiste des neuro-sciences et directeur scientifique de l’Institut de médecine environnementale.
Il y a quelques semaines, le Canard Enchainé révélait que le ministère de la santé avait porté un bien mauvais coup à la recherche médicale française, en portant un coup d’arrêt au système des IHU, ces instituts hospitalo-universitaires qui faisaient jusqu’alors consensus.
Plusieurs études récentes ont mis en lumière le mal-être du personnel hospitalier français. Un mal-être que l’on ressent chez quasiment tous les professionnels concernés et qui s’explique essentiellement par deux motifs : un management déshumanisant et l’impossibilité de fournir des soins corrects aux patients.