En ces derniers jours de campagne législative en France, la fébrilité monte visiblement dans le camp macroniste.
Les derniers sondages placent l'opposition de gauche en tête des intentions de vote, et sa propre majorité présidentielle semble d'ores et déjà compromise.
En ces derniers jours de campagne législative en France, la fébrilité monte visiblement dans le camp macroniste.
Les derniers sondages placent l'opposition de gauche en tête des intentions de vote, et sa propre majorité présidentielle semble d'ores et déjà compromise.
En ce sens, je vois très bien ce que monsieur Pap Ndiaye pourrait faire demain avec un gouvernement de la NUPES.
Mais je ne vois pas du tout ce qu'il fera tantôt avec Emmanuel Macron, Bruno Lemaire, Darmanin, Dupont-Moretti et Damien Abad. Le sait-il lui-même ?
La création de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale bouleverse complètement le paysage politique en France. A l'intérieur même de chacune de ses composantes, les tensions restent souvent vives.
Une flopée d'éditocrates parisiens, qui reprochait en permanence à la gauche de "ne pas être capable de se rassembler", lui reproche aujourd'hui de l'avoir fait. Au bal des faux-culs, on se bouscule toujours autant au portillon.
Pourquoi Poutine a déjà politiquement perdu la guerre en Ukraine. Et pourquoi, paradoxalement, ce n'est pas nécessairement une bonne nouvelle. Sommes-nous vraiment, comme l'affirment les Russes, au bord d'un conflit nucléaire mondial ?
J’ai immédiatement pensé au conte des frères Grimm, Le Joueur de Flûte d’Hamelin, qui devait débarrasser la ville de ses rats (les fachos), et qui a fini par noyer son troupeau d’enfants dans la rivière (le réchauffement climatique).
Si Macron est entré en campagne avec une certaine nonchalance, voter pour Marine Le Pen, c'est la certitude d'institutionnaliser le racisme à tous les étages de l'état français. Et de remplacer à jamais la "fraternité" des frontons républicains par un véritable apartheid. La prétendue "France aux Français", c'est simplement la "France aux fachos".
En ce jour de printemps, à moins de trois semaines du premier tour de l'élection présidentielle en France, Jean-Luc Mélenchon est pour la première fois crédité de 15% des voix dans un sondage d'opinion (ELABE/L'EXPRESS) et a rassemblé plus de 100.000 manifestants Place de la Bastille.
Ceux qui s'opposent aujourd'hui à la candidature de Mélenchon, sur les réseaux sociaux ou dans les médias, ne le font pratiquement jamais sur la base de son programme, mais sur celle de sa supposée "personnalité". Les lendemains de la "Primaire Populaire" ont un petit côté "gueule de bois".