Alain Marshal
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Norman Finkelstein : le Conseil de sécurité de l’ONU a déclaré la guerre à Gaza
Avec l'instauration d'un cessez-le-feu unilatéral, la « solution finale de la question palestinienne » entre dans une nouvelle phase, tout aussi meurtrière mais plus discrète. En lui donnant son feu vert, le Conseil de sécurité abolit le droit international, efface 80 ans de reconnaissance des droits palestiniens et se rend complice du génocide, conférant les pleins pouvoirs à Israël et à Trump. -
« Elle ne reviendra pas » : des femmes alaouites enlevées dans les rues de Syrie
Depuis le renversement d'Assad, pilier de l'Axe de la Résistance, nos médias se moquent du sort de la population syrienne, livrée aux massacres, viols et pillages des hordes terroristes d'al-Jolani et aux agressions sionistes. Même l'esclavage sexuel systémique des femmes alaouites, ici rapporté (et édulcoré) par Reuters, les laisse indifférents. La raison : seuls les intérêts d'Israël comptent. -
Blocus médical : les enfants amputés de Gaza condamnés aux prothèses de fortune
Malgré le raffinement de torture inouï infligé aux habitants de Gaza par Israël, qui bloque aussi bien le lait infantile que les prothèses, nos journalistes (de Mediapart ou d'ailleurs) ne dénonceront jamais la « cruauté », le « sadisme » ou la « vilénie morale » de l'armée d'occupation génocidaire, car ils réservent exclusivement ces termes déshumanisants aux Palestiniens. -
Le plan Trump prévoit la partition de Gaza, sinistre écho au partage de l'ONU de 1947
Gaza serait divisée en une « zone verte » sous contrôle israélo-américain et une « zone rouge » qui serait laissée en ruines, et où survivent la majorité des Palestiniens déplacés. L'adoption par le Conseil de sécurité de ce projet colonial, aux contours flous et sans contrôle de l'ONU ni voix au chapitre pour les Palestiniens, est une réédition honteuse du plan de partage de la Palestine de 1947. -
L'apologie des viols d'otages palestiniens révèle la dépravation sans retour d'Israël
Alors que les médias occidentaux, Mediapart compris, ont été prompts à colporter les récits de viols perpétrés par le Hamas le 7 octobre, aujourd'hui démentis, ils sont discrets quant aux viols systématiques perpétrés par l'occupant contre les otages palestiniens. La raison de ce silence est manifeste : ces crimes sont si ignobles qu'ils révèlent le visage hideux de l'occupant et de ses soutiens.