J'ai commencé cette chronique de manière quotidienne le 12 mars 2020 lorsque le confinement a été imposé au niveau national en Italie, c'était ma façon de témoigner de cet évènement exceptionnel. De retour1…
à la normalité, je l'ai continuée sans grande régularité, partagée entre mon désir d'écrire et mes obligations familiales et professionnelles : des enfants qui grandissent, des parents qui prennent de l'âge, des charges familiales plus lourdes, encore un changement de pays, et dans le peu de temps qui reste, des velléités à l'écriture.
La planète incendiée, les forets parties en fumée, l'agriculture sans terre, les villes tentaculaires......Barjavel l'avait imaginé au milieu du 20ème siècle, un scénario pas si invraisemblable que cela
Rome souffre: trop de visiteurs, plus de résidents, la ville se vide de sa substance et devient un parc d'attraction géant ou un musée à ciel ouvert selon les interprétations. Petite chronique d'une résidente qui vit quotidiennement les méfaits du sur-tourisme dans la ville éternelle.