Hier professionnel dans les domaines de l'éducation, la formation, la conduite et l’accompagnement du changement. Aujourd'hui papi et apiculteur amateur.
Toulouse - France
Dans une note publiée en 1950, Simone Weil plaide pour la suppression des partis politiques. Partisan plus soucieux de son propre devenir que du bien public, tout parti serait par principe totalitaire. La charge est sévère. Mais comment résister quand les passions collectives se déchaînent ? N’est-ce pas en étant ancré dans un collectif que l’individu peut affronter les vents mauvais ?
Les conduites à risque des jeunes sont plurielles, souvent associées : vols, rackets, violences physiques, psychologiques, ivresses, toxicomanies… Source de danger, elles contribuent néanmoins à leur épanouissement. Mais quelles limites ? Quelles frontières ? Toutes les expériences sont-elles bonnes à faire ?
Proposer de découpler les genres, masculin et féminin, du sexe biologique ne présente en soi rien de bien nouveau. Mais les normes et stéréotypes sociaux ont résisté. Genre masculin et genre féminin ne sont-ils pas cependant utiles comme points de repère ? A quelles conditions ?
Dans "La conversation des sexes. Philosophie du consentement" (1), Manon Garcia pour échapper au risque d’une expérience sexuelle décevante, car fondée sur un consentement résigné, appelle de ses vœux un profond changement social dont une des principales voies sera l’éducation sexuelle.