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1600, Pennsylvania avenue
À propos de l'édition
Cette édition se veut une tentative de décryptage du premier mandat de Barack Obama. Dans la lignée de l'objectif que s'est fixé Médiapart, "1600 Pennsylvania avenue" propose des sujets1… de déchiffrage et d'approfondissements, plus qu'une collection de faits d'actualité. Pour ce faire, les participants à cette édition metteront à profit leur connaissance de l'histoire politique américaine ainsi que des médias US.
Cette édition se veut une tentative de décryptage du premier mandat de Barack Obama. Dans la lignée de l'objectif que s'est fixé Médiapart, "1600 Pennsylvania avenue" propose des sujets1… de déchiffrage et d'approfondissements, plus qu'une collection de faits d'actualité. Pour ce faire, les participants à cette édition metteront à profit leur connaissance de l'histoire politique américaine ainsi que des médias US.
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Édition 1600, Pennsylvania avenue
Politico
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The Electoral Map
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L'empathie au coeur de la communication de Barack Obama
L'empathie au coeur de la communication de Barack Obama © 1600PennsylvaniaAvenueBarack Obama est sous le feu du Parti Républicain pour avoir souhaité un nouveau Juge Suprême capable d'empathie. Dans cet article de l'édition, nous offrons une explication plus développée sur cette notion qui structure le discours d'Obama depuis plusieurs années. -
Édition 1600, Pennsylvania avenue
Le déficit d'empathie de la société américaine : Obama et la linguistique cognitive.
Empathie. Il aura suffit d’un mot pour susciter une levée de boucliers Républicains et un véritable emballement médiatique. La cause ? Le départ de la Cour Suprême du Juge David Souter, prenant sa retraite. -
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Media Matters dénonce les montages de Fox News
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Que devient John McCain ?
“Ce soir, plus que n’importe quel soir, je porte dans mon coeur tout l’amour que j’ai pour ce pays et tous ses citoyens, qu’ils aient voté pour moi ou pour le Sénateur Obama. Je souhaite toute la réussite possible à l’homme qui fut mon adversaire et qui sera mon Président.” -
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De « Fala » à « Bo », histoire d’une cynophilie présidentielle
Dès son discours de victoire à Chicago, Barack Obama s’y était engagé : ses filles Malia et Sasha auraient droit à leur puppy (chiot) pour égayer leurs soirées à la Maison Blanche.