Cinémas méditerranéens

Durant l'été 1993 dans un petit village de Catalogne, Frida est accueillie chez son oncle et sa tante et leur fille de 3 ans après le décès consécutif de ses parents. Du haut de ses 6 ans d'âge, elle doit s'intégrer à cette nouvelle famille, évacuant pour un temps le traumatisme de sa situation surréaliste.

Dans un Istanbul dystopique, les coupures d'électricité se multiplient, les filles et femmes subissent la violence machiste, une mère est prête à tout pour protéger son fils en prison et les arnaques immobilières se font au détriment des réfugiés.

L'édition de cet ouvrage collectif fait suite à la restauration du film que Mustapha Derkaoui a réalisé au milieu des années 1970 au Maroc. Après avoir été interdit de diffusion durant plusieurs décennies, « De quelques événements sans signification » est à nouveau visible sous la forme d'un DVD accompagnant ce livre.

Réunis autour d'une table et de verres remplis, des chasseurs d'un petit village italien se remémorent l'histoire semi légendaire de Luciano, un villageois mal aimé pour ses excès lorsqu'il commence à boire.

Au cours d'un été dans un petit village du sud-est espagnol, Ana et José se découvrent en passant du temps ensemble et souhaitent prolonger cette relation. Leur histoire est cependant confrontée à la menace d'une légende qui veut qu'à chaque inondation la rivière emporte avec elle une jeune femme.

Alors que près d'un tiers d'ukrainiens et ukrainiennes sont contraint.es à quitter dans l'urgence leur pays, leur foyer, leur famille suite à l'invasion des armées russes, le réalisateur polonais Maciek Hamela assure le transport d'Ukraine en Pologne pour évacuer les réfugié.es et enregistre dans son van leurs témoignages.

Angela et Pasquale s'aiment mais leur mariage est sans cesse repoussé faute de moyens : les deux familles paysannes se retrouvent bien démunies et pour éviter les frais, celles-ci organisent la fuite des deux amants. Elles mettent en outre en scène leurs propres disputes afin de pouvoir réaliser un « mariage de réparation ».

Tony Arzenta, un tueur professionnel au service de la mafia, décide de prendre sa retraite pour protéger sa famille. Ses employeurs ne le voient pas du même œil : en tentant de tuer Tony, c'est l'épouse et son fils qu'ils assassinent. Commence dès lors une longue traque vengeresse.

Entourée de caméras de vidéo-surveillance, la Méditerranée est interrogée par le cinéaste Jean-Marc Chapoulie qui saisit en direct ces enregistrements, en retravaille le son et le montage dans une mise en scène réflexive.

Une troupe d'archéologues canadiens se rend sur un site en Sicile pour des fouilles. Parmi eux, Liza est étrangement attirée par un couvent où des religieuses ont été crucifiées à la suite d'une accusation de sorcellerie.