Le Québec vit en ce moment des changements sociaux. Les étudiants, en grogne contre le gouvernement libéral de Jean Charest qui augmente les frais de scolarité de 75 % sur 5 ans, sont en grève1
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depuis la mi-février 2012. Après huit semaines de manifestations pacifiques et un rassemblement historique de 200 000 personnes dans les rues du centre-ville de Montréal, le gouvernement ne daigne pas écouter leurs inquiétudes. Après quelques offres considérées comme « ridicules », la violence entre les forces de l'ordre et les étudiants (et professeurs) augmente. Le système judiciaire intervient à coup de dizaines d'injonctions forçant le retour en classe, brimant ainsi les votes démocratiques sur lesquels la grève des étudiants s'est fondée tout en causant des affronts sur les campus entre manifestants et policiers. Le principe de la démocratie est mis à l’épreuve. Encore plus avec l’arrivée de la loi spéciale 78 du 18 mai. Les textes traiteront tous de ce «printemps érable».
Le Québec vit en ce moment des changements sociaux. Les étudiants, en grognent contre le gouvernement libéral de Jean Charest qui augmente le frais de scolarité de 75 % sur 5 ans, sont en grève depuis la mi-février 2012. Après huit semaines de manifestations pacifiques et un rassemblement historique de 200 000 personnes dans les rues du centre-ville de Montréal, le gouvernement ne daigne pas écouter leurs inquiétudes.