Sur l'excellent fil concernant Kant, une lectrice m'écrivait: "En tout cas chère Etoile, ce n'est pas à l'école, au collège ou au lycée en France, qu'on apprend à jouer du couteau, à hurler au lieu de parler et à n'utiliser que 20 mots de la langue pour s'exprimer." Ayant rédigé un long commentaire avec photos pour lui répondre, je publie ici cette réflexion sur : "n'utiliser que 20 mots de la langue pour s'exprimer".
Vous êtes né en en 1953 à Termonde, en Belgique. La politique est presque une vocation chez vous... En février, dans une tribune du journal Le Monde intitulée « Il y a quelque chose de pourri en République française », vous fustigiez le débat sur l’identité nationale lancé par Eric Besson en octobre 2009, le qualifiant de « stérile » et de « défouloir au remugle vichyste ». Vous affirmiez « l'essentiel n'est pas d'où l'on vient mais où l'on va ». Excellente émission sur l'Europe, l'identité, l'avenir de nos pays face à la globalisation. A écouter et podcaster sur France Culture.
Sur la première page du "tracker" de Mediapart, je trouve à l'instant 5 articles ayant dans leur titre le nom de Sarkozy et une quantité non négligeable ne le nommant pas mais signifiant son refus du personnage. Soit, je ne l'aime pas non plus et n'ai jamais compris comment les Français avaient pu élire un type de ce calibre. Mais une question fondamentale se pose que je ne lis pas souvent.
Comme annoncé dans mon article précédent, je souhaite partager avec vous quelques photos et vidéos sur l'engagement citoyen évoqué dans un article de blog. Ce reportage pourrait être tourné dans de nombreuses régions du pays en question, il montre l'engagement citoyen bénévole pour des causes pratiques. Il s'agit d'une triste cour d'école, comme on en connaît des milliers en France, qui doit se transformer en paradis de jeu pour les enfants.
Cette semaine après le 14 juillet 2010, le Stern publie une double page avec cette photo et ce commentaire dont j'ai rapidement traduit le texte.On y voit le président de la République française, entre les présidents du Cameroun et du Burkina Faso. Une photo qui restera dans les livres d'Histoire.
Jean-Christophe Cambadélis déclarait fin avril 2009: «Les sympathisants socialistes envisagent que le Modem rejoigne la gauche et non le contraire. Le PS doit être l’aimant qui attire la limaille.». Il est gonflé !