Un roman extraordinairement construit qui contraint le lecteur à changer constamment de regard , mais y en a-t-il un un qui soit conforme à la vérité dans la fiction, c'est-à-dire le mensonge...
Tous les détails sont signes, à la fois concordants et contradictoires. Brouillage impossible à éclaircir.
C'est fascinant et vertigineux.
Un cri, de douleur, de révolte et de résistance, un texte littéraire de haute volée. Saisissant.
La liberté des femmes de disposer de leur propre corps. Un combat sans cesse renouvené.
Une conversation ininterrompue pendant plus de trente ans entre Papkèn Bodossian, artiste peintre, et son fils, l'auteur du récit.
Éditions Parenthèses, nov. 24
Un cri, de douleur, de révolte et de résistance, un texte littéraire de haute volée. Saisissant.
À propos de la liberté des femmes à disposer de leur propre corps. Un combat sans cesse renouvelé.
Le chemin d'écriture qu'emprunte Isabelle Flaten ne consiste pas du tout à aller sur le terrain de Flaubert, à se mesurer à lui, cela n’aurait ni sens ni intérêt, mais bien au contraire à imprimer sa singularité et écrire un roman contemporain, que le lecteur prend comme tel, indépendant… même si à chaque page, Flaubert est présent.
« Beaucoup de livres ont accompagné cette rêverie autour de Lucia Joyce. » (Note de l’auteur)
Cette remarque d’Eugène Durif définit la singularité de ce texte : nourri de lectures, très documenté, il relève en même temps de l’écriture romanesque, voire poétique, d’une forme de fiction.
Un texte éblouissant et émouvant, personnel et érudit, drôle et documenté, à l’écriture inventive, libérée des codes du genre.
Une somme sur le rock et en même temps un autoportrait de l'auteur.