Bienvenue (ou rebienvenue).
Ce blog reprend peut-être vie après une mort brutale — une mort courte, pas spectaculaire, sans fleurs ni discours, juste un bouton « publier » qui a cessé d’être cliqué.
Pourquoi1…
revenir ? Peut-être par erreur.
Rien ne garantit que ça dure : on pourrait s’arrêter net après deux phrases et un soupir.
Ce blog, c’est un peu comme une réunion Zoom qui aurait pu être un e-mail : on n’est pas sûr de pourquoi on est là, mais puisqu’on y est, autant rester et faire preuve de présence.
Vous trouverez ici des textes qui avancent, trébuchent, se reprennent, parfois s’effondrent.
Bref, un peu comme la vie d’un blog : maladroit mais volontaire.
Il y a des erreurs qui déclenchent une alarme. Et d’autres qui font tout sauter. Voici l’histoire d’un bouton mal tourné, d’un protocole oublié, d’un doute trop humain. L’histoire de deux techniciennes de raffinerie où les odeurs d’essence collent à la peau. Un endroit où il ne faut jamais se tromper. Et elles se sont trompées. Ce texte n’est pas un rapport d’incident. C’est une combustion lente.