Attaché principal territorial | Essayiste aux éditions Armand Colin | Romancier aux éditions Fayard | Membre de l'Observatoire de l'éthique publique (OEP) | Conseiller municipal de Nice et conseiller métropolitain de Nice Côte d'Azur (groupe écologiste)
Nice - France
Lors de mon entretien, le 22 mai 2017, avec le Garde des Sceaux, ce dernier avait émis le souhait qu’Anticor lui transmette ses observations sur les projets de loi « rétablissant la confiance dans l’action publique ». Les voici !
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour « abus de confiance » et « recel d’abus de confiance » visant le MoDem, suspecté d’avoir utilisé le statut d’assistant parlementaire européen pour rémunérer ses permanents.
Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a présenté, le 1er juin 2017, trois projets de loi « pour redonner confiance dans la vie démocratique ». Au final, Anticor a le sentiment d’avoir été, en partie, entendue…
Dans la cadre du projet de loi sur la moralisation de la vie politique, le Garde des Sceaux, François Bayrou, s'est entretenu avec moi, en ma qualité de président d'Anticor.
Anticor estime qu’une personne ayant fait l’objet d’une condamnation pénale pour avoir manqué à son devoir de probité ne peut pas être promu au rang de commandeur de la Légion d’Honneur. Par conséquent, l'association demande au Président de la République d'annuler cette promotion.
Anticor se félicite du choix du nouveau Président de la République de faire de la moralisation de la vie politique son premier projet de loi. Si les propositions contenues dans le programme d’Emmanuel Macron représentent un progrès, d’autres mesures seraient également nécessaires.
Le 23 avril 2017, les électeurs ont choisi de qualifier Emmanuel Macron et Marine Le Pen pour le second tour de l’élection présidentielle. Ce résultat inédit s’inscrit dans le prolongement du 21 avril 2002.
Michel Roussin a été promu commandeur de la légion d’honneur par le Président de la République, sur proposition du Premier Ministre. Or, il avait été condamné pour « complicité de corruption active et passive ».
Jean-François Knecht nous a quitté, il y a maintenant dix ans. Il a été conseiller municipal de Nice (de 1989 à 1995 et de 2001 à 2007) et conseiller général des Alpes-Maritimes (de 1998 à 2007). Il était membre du Parti socialiste et coréférent d'Anticor 06.
Dans son rapport annuel 2016, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) épingle les dérives portant sur l’utilisation de l’IRFM.