Nous l’avons fait ensemble ! Le samedi 4 mai, « hors compétition », hors des polémiques insensées qui traverse la campagne pour les élections européennes, nous avons réuni toute la gauche. Et nous avons parlé de l’Europe que nous voulons sociale, écologique, démocratique. Des objectifs qui nous sont communs !
Au Forum du 4 mai, la Gauche parlera d'Europe. Et aussi de la responsabilité historique que nous avons, en France, d'ouvrir ensemble un autre chemin que ceux des Droites, qui mènent dans le mur.
Au Forum du 4 mai, la Gauche parlera d'Europe. Et aussi de la responsabilité historique que nous avons, en France, d'ouvrir ensemble un autre chemin que ceux des Droites, qui mènent dans le mur.
Jamais les enjeux d’une élection européenne n’ont été aussi cruciaux. Face à la crise climatique, aux urgences sociales et démocratiques, face à la guerre à ses frontières, et à la montée de l’extrême droite, l’Europe doit se transformer. Il est temps d’imposer une harmonisation sociale et fiscale par le haut.
Depuis que Macron a recommencé un autre tour de France de propagande pré-électorale, la question de l’âge de la retraite est remise sur la table. Le résultat des élections régionales et départementales poussent une partie du gouvernement à proposer un report de l’âge de la retraite à 64 ans. Une façon de couper l’herbe sous le pied à la droite LR qui se sent le vent en poupe.
Le premier tour des élections régionales et départementales a été marqué d’un fort taux d’abstention. Cette abstention a une signification politique : crise démocratique, crise de représentation, crise des projets…
Les suffrages exprimés ne reflètent pas les attentes réelles de nos concitoyens et le second tour peut encore changer la donne. Cela dépend de nos votes.
Alors que le chômage et la pauvreté augmentent, alors que les plans sociaux se développent, alors que l’épidémie de Covid s’amplifie, l’urgence est au social. Le confinement renforce l’urgence. À part des mots, Macron ignore les attentes. 100 milliards et plus pour les entreprises, des miettes pour le social. On a besoin d’une autre répartition.