Depuis le début de la crise Covid-19, j’entends une guerre de chiffres. En gros, il y aurait moins de morts cette année qu’en 2019, ou bien la grippe de Hong-Kong de 1969 aurait tué bien plus de monde…
Deux degrés de plus d’ici 2100 ? La population tremble ; les chefs d’Etat prennent des décisions dures, mais courageuses ; les entreprises compressent massivement leur impact carbone…
Revenons à la réalité. L’indicateur du GIEC ne fait bouger personne. Après le diagnostic et les propositions, place aux faits.
Observe-t-on un réchauffement en France ? Préparez-vous à une surprise !
Depuis la création du GIEC en 1988, les conférences internationales se sont succédé. Pour quel résultat ? Une augmentation de 50% des émissions de GES depuis 1990 au plan mondial.
Dans le premier épisode de cette publication, nous avons expliqué en quoi l'indicateur proposé par le GIEC (+2°C à l'horizon 2100) est inadapté pour pousser à l’action.
Voici de nouvelles propositions.
Comme tant d’institutions internationales, le GIEC a failli.
Son fameux signal d’alerte « +2°C d’ici 2100 » n’a entraîné aucun changement visible sur nos sociétés. Pourquoi un tel échec ?
Serons-nous des « vingtards » ?
Ceux qui ont vécu 1968 imaginaient-ils qu’on les appellerait plus tard les « soixante-huitards » ? Qu’ils seraient associés aux hommes barbus-chevelus à sandales, aux femmes à mini-jupes et à cheveux longs ? Que leur « révolution » aurait un parfum de liberté suivie d’un retour assumé dans le rang et une entrée fracassante dans le domaine du fric et du business ?
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