Le Salariat, soit l'autre classe.

Pour info.

Ce qui résout la question "A quoi sert Place Publique ?": à rien. Mais du coup en pose une autre: que dire, alors, de l'Avenir en Commun ?

La carambole, le billard français quoi, a une discipline reine: le trois bandes. Pour marquer un point, il faut que la bille de choc, celle que l'on frappe, touche les deux autres billes ainsi que 3 bandes, au minimum, avant le contact avec la dernière bille.

En moins de 15 minutes d'échanges on saisi pourquoi ce ne sont pas aux hommes au pouvoir d'écrire les règles qu'ils sont sensés craindre. Les représentants qui se pensent élus démocratiquement démontrent à nouveau la haine qu'ils ont du peuple, la haine qu'ils ont du citoyen en le cantonnant au rôle d'électeur.

"Les quartiers sensibles sont des quartiers politiques, où il y a de la lutte de classe." "Il ne faut pas faire de la culture, il faut faire de la politique." "Le projet a mettre en place on le connait depuis deux cent ans: il faut fixer des limites à la propriété." "Le ministère de la culture, son boulot, c'est de détruire le politique."

Premièrement, c'est le penseur de la contradiction et non celui de la domination. Il n'y a pas d'étape socialiste pour sortir du capitalisme. Deuxièmement, le nœud de la lutte de classe, c'est le pouvoir sur le travail. Pas l'argent issu de ce dernier. Troisièmement, la révolution politique ne peut pas engendrer la révolution économique car elle est le fruit de cette dernière.

Sur le fil des commentaires de la vidéo d'Usul sur le marxisme, après moults commentaires dépliant je l'espère correctement les analyses du réseau salariat et de Bernard Friot, j'ai posté cette analyse d'une courte séquence.

C'est encore une fois sur ses institutions que le capital affirment sa position de classe. Quelle doit être notre réponse adaptée ?

Tout est dans le titre.