À quoi servent les départements ? À rien, s’il faut en croire le débat récent sur la réforme territoriale : au mieux, ils seraient un numéro un peu folklorique sur les plaques d’immatriculation, auxquels les Français sont tellement attachés qu’il est impossible de les faire disparaître ; au pire, ils ne sont qu’une couche inutile du fameux « millefeuilles territorial », source de dépense publique inefficace à supprimer absolument au nom de l’austérité. Évidemment, les choses sont un peu plus compliquées que cela.
Au moment où Manuel Valls paradait devant les patrons réunis en université d’été, sur le campus de HEC, fin août, on repensait à ce récent sondage BVA/Le Parisien : six Français sur dix ont une mauvaise opinion du MEDEF.
Les sciences ont envahi les sports : matériels, terrains, méthodes d'entraînement, diététique, tout change. Pour le meilleur (par exemple les nouvelles possibilités pour les handicapés) et pour le pire. Commençons par le pire et le dopage. Nous aborderons d'autres aspects dans de prochains numéros.
Entre contestation sociale, fractures nationales et rivalités internationales la crise questionne tout autant la trajectoire post-soviétique de l'Ukraine que la redéfinition des équilibres géopolitiques en Europe.
Traiter de la religion dans son développement historique devrait permettre de rendre lisible le patrimoine dont nous héritons. L'enjeu est ici d’ordre social et politique, et au vif des problèmes d'aujourd'hui.