L’Angle Économique
Économie, Protection sociale, inegalités.
Narbonne - France
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L'Angle Economique
À propos du blog
L’Angle Économique propose une analyse critique et pragmatique des enjeux économiques, vue par un citoyen engagé. De la protection sociale aux inégalités, en passant par la transition écologique, ce blog1…
explore des solutions audacieuses, comme la Cotisation Citoyenne Solidaire, pour une économie plus juste. Inspiré par des penseurs comme Bernard Friot et des données rigoureuses (INSEE, WIFO), il offre un regard nouveau sur la richesse collective.
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Islamophobie, mieux la nommer pour mieux la combattre
En France, comme ailleurs dans le monde, le terme "islamophobie" s'est imposé pour désigner les actes hostiles envers les musulmans. Selon les Nations Unies, elle se définit par "la peur, les préjugés et la haine envers les musulmans" pouvant "se transformer en racisme structurel et culturel". -
Retraite à 64 ans : vrai remede ou fausse bonne idée ?
Imaginez : vous avez 62 ans, vous rêvez de poser vos valises et de profiter de la retraite, mais on vous dit qu’il faut travailler deux ans de plus pour « sauver l’économie » -
Justification marxiste d'une une cotisation sociale assise sur la VA
En 1945, le CNR a instauré les cotisations patronales pour financer la Sécurité sociale, s’inspirant d’une vision marxiste où la valeur ajoutée est principalement attribuée au travail vivant des salariés. Cependant, cette approche, concrétisée par des cotisations basées sur la masse salariale, crée des inégalités en 2025. -
Pourquoi la TVA sociale est une arnaque
Paul, ouvrier à Saint-Étienne, remplit son caddie un samedi. Depuis que Macron a relancé la TVA sociale, son panier – pain, lait, pâtes – coûte plus cher. Son salaire stagne, malgré les promesses d’emplois, de compétitivité, de retraites sécurisées. -
la Cotisation Citoyenne Solidaire sera l’avenir de la Sécurité sociale #CCS
En 1945, Ambroise Croizat et le Conseil National de la Résistance ont bâti la Sécurité sociale. Ce modèle, révolutionnaire à l’époque, est aujourd’hui à bout de souffle. Les GAFAM, géants du luxe, et multinationales de l’énergie cotisent à peine 1 à 6 % de leur valeur ajoutée, contre 20 à 30 % pour une PME.