Les rédactions de l’AFP, Challenges, Europe 1, L’Express, Le Figaro, Franceinfo TV, France 3 National, France Bleu, France Info, France Inter, LCI, Mediapart, L’Obs, Le Parisien, Le Point, TF1, La Tribune, TV5 Monde et 20 Minutes refusent de participer au Conseil de déontologie journalistique et de médiation qui doit se créer lundi 2 décembre. Elles s’en expliquent dans ce texte commun.
Le premier ministre invite ce mercredi 17 juillet les « associations et représentants » de journalistes à un « temps d’échange suite aux récentes interrogations sur la loi de 1881 relative à la liberté de la presse et sur les conseils de presse ». Nous irons, mais pour réaffirmer que dans le contexte actuel, ce sera sans nous…
Une vingtaine de rédactions expriment leur solidarité avec le journaliste Taha Bouhafs, du site d’informations Là-bas si j’y suis, interpellé lors d’un reportage. Nous dénonçons une nouvelle atteinte à la liberté d'informer. Nous ne pouvons tolérer d’être régulièrement pris pour cibles par les forces de l’ordre dans le cadre de l’exercice de notre métier.
Une quarantaine de rédactions expriment leur solidarité avec les journalistes convoqués par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Nous rappelons une nouvelle fois que le secret-défense ne saurait être opposé au droit à l’information, ni servir d’épée de Damoclès pour dissuader les journalistes d’enquêter, et de publier.
Nous, sociétés de journalistes et sociétés de rédacteurs, exprimons notre solidarité avec le journal Fakir, qui a fait l’objet d’un espionnage méthodique à la demande du groupe LVMH. Des intérêts privés ne sauraient remettre en cause la liberté et l’indépendance de la presse.
Plus de trente sociétés des journalistes expriment leur solidarité avec leurs confrères de Disclose et de Radio France, convoqués par la DGSI dans le cadre d’une enquête pour « compromission du secret de la défense nationale ». Ils n’ont fait que leur travail : porter à la connaissance des citoyens des informations d’intérêt public.
Une vingtaine de rédactions apportent leur soutien à Gaspard Glanz. Le journaliste indépendant, après 48 heures de garde à vue, est interdit de paraître à Paris les samedis et le 1er Mai, donc d'y couvrir les manifestations, jusqu'à sa comparution pour « outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique » le 18 octobre, ce qui revient à lui interdire de faire son travail de journaliste.
Compte-rendu d'une réunion sur « la sécurité des journalistes » qui s'est tenue vendredi 25 janvier entre le ministre de la culture, Franck Riester, et une quinzaine de médias et de leurs repréentants.
Les actes de violence à l’encontre de reporters commis par certain·e·s manifestant·e·s lors des rassemblements de Gilets Jaunes sont inacceptables. Notre inquiétude et notre colère sont encore plus grandes face aux attaques de policiers et de gendarmes à l’encontre de nos consoeurs et de nos confrères.
Une quarantaine de rédactions publient un texte commun pour dénoncer les violences exercées à l'encontre des journalistes lors des rassemblements des gilets jaunes et appellent au respect de la liberté d'informer.
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