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Dans une interview diffusée ce mercredi sur France Inter, l’éditorialiste Franz-Olivier Giesbert a multiplié les attaques mensongères contre Mediapart et son directeur. La SDJ de Mediapart s’indigne que tant de contre-vérités aient pu être proférées sans que leur soit opposée une réplique factuelle.
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Dans une lettre ouverte à Emmanuel Macron, des organisations syndicales et de journalistes, dont la SDJ de Mediapart, demandent le retrait des articles 21, 22 et 24 de la loi Sécurité Globale au nom du respect des libertés fondamentales.
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Une quarantaine de sociétés de journalistes et de rédacteurs de la presse nationale, régionale, de l’audiovisuel et du Web demandent le retrait des articles 21, 22 et 24 de la loi sur la Sécurité globale. Elles expliquent dans cette lettre au premier ministre pourquoi elles ont refusé son invitation à le rencontrer à Matignon jeudi 26 novembre.
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Les organisations signataires de l’appel au rassemblement contre la proposition de loi (PPL) Sécurité globale se félicitent du succès de la mobilisation à Paris et dans toute la France. Elles dénoncent avec fermeté les violences et menaces à l’encontre de journalistes, commises par des forces de l’ordre à la fin de ce rassemblement pacifique et appellent à une nouvelle manifestation ce samedi 21 novembre à 14 h 30.
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Ce sont les vidéos exposant les violences commises par les forces de l’ordre, qu’elles aient été tournées par des journalistes titulaires ou non d’une carte de presse, par des citoyens ou des militants, qui ont permis d’inscrire ce sujet dans le débat démocratique. L’article 24 de la proposition de loi « pour une sécurité globale », en visant à limiter la diffusion d’images de la police, attente à la liberté d’informer. Une trentaine sociétés de journalistes et de rédacteurs demande son retrait du projet de loi.
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Dans un contexte déjà très dégradé pour les journalistes, plus de quarante rédactions demandent au ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, de corriger le nouveau schéma de maintien de l’ordre, qui porte atteinte à la liberté d’informer.
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En France, en 2020, un policier a été suspendu de ses fonctions par le ministère de l’intérieur parce que suspecté d’être une source de Mediapart – évidemment nous n’en dirons rien – dans l’affaire Geneviève Legay. Il s’agit d’une atteinte pure et simple à la liberté d’informer.
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Plus de trente rédactions dénoncent l’initiative gouvernementale consistant à reproduire, sur un site officiel de la République, un florilège d’articles estampillés fiables, consacrés au Covid-19. Elles demandent que cette rubrique soit supprimée sans délai.
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Les rédactions de l’AFP, Challenges, Europe 1, L’Express, Le Figaro, Franceinfo TV, France 3 National, France Bleu, France Info, France Inter, LCI, Mediapart, L’Obs, Le Parisien, Le Point, TF1, La Tribune, TV5 Monde et 20 Minutes refusent de participer au Conseil de déontologie journalistique et de médiation qui doit se créer lundi 2 décembre. Elles s’en expliquent dans ce texte commun.
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Le premier ministre invite ce mercredi 17 juillet les « associations et représentants » de journalistes à un « temps d’échange suite aux récentes interrogations sur la loi de 1881 relative à la liberté de la presse et sur les conseils de presse ». Nous irons, mais pour réaffirmer que dans le contexte actuel, ce sera sans nous…