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Après deux ans de recherche et de controverses, je publie l'essentiel de cette enquête collective sur la gestion politico-sanitaire de la crise du Covid sous forme d'un livre en deux tomes.
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Le « bashing » continue. Le journal Le Monde a cru devoir en « rajouter une couche » en amplifiant une polémique initiée comme d’habitude sur les réseaux sociaux, au sujet de ma direction du Conseil scientifique de la FCPE. Problème : l’article relaye des bruits de couloir mensongers et il met en difficulté la FCPE à la veille des élections de parents d’élèves. Une véritable honte.
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Dans cet entretien, le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud conteste la supposée toxicité de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine, explique la raison de leur bannissement, et développe la notion de controverse scientifique ; il met en lumière le rôle des conflits d’intérêts et le problème de l’évaluation des risques par les agences de régulation, qui ont abouti à l’unique solution vaccinale.
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Huit sociologues qui n’ont jamais publié le moindre travail empirique sur l’analyse de la crise sanitaire, ni sur la pharmacovigilance, m’injurient par voie de presse, sur le fondement d’un seul argument (je ne comprendrais rien à la causalité) et de sources douteuses. Voici ma réponse.
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La loi française interdit depuis 1990 toute distinction entre les personnes sur le fondement de leur état de santé. Cette législation réprimant les discriminations a été adoptée dans le contexte de l’épidémie de SIDA. Trente ans après, la loi du 5 août 2021 interdit l’accès à des biens, lieux et services aux personnes ne remplissant pas des critères sanitaires précis. C'est une discrimination.
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Il est temps de relire les quelques pages que le philosophe Michel Foucault consacrait à la gestion politique des épidémies. La réalité biologique du coronavirus n’est pas la seule à agir sur les corps. Les réflexions de Michel Foucault dégagent deux modalités combinables de politiques sécuritaires qui disciplinent les corps et semblent se réaliser aujourd’hui dans le contexte politico-sanitaire.
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Dans cette tribune, un journaliste s'étonne du consensus de la presse d'information générale dans sa couverture de la crise sanitaire. Il souligne certains mensonges du pouvoir politique, notamment sur les traitements et vaccins contre la covid, et rappelle que le rôle de la presse n'est pas de contribuer à la propagande du pouvoir, mais de le questionner sans relâche.
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La volonté politique d’imposer une obligation vaccinale est une chose. La compatibilité de cette volonté, même traduite par une loi, avec l’ordre juridique en est une autre. Le projet de loi actuel porte atteinte à l’un des piliers de l’éthique médicale consacré par un grand nombre de dispositions juridiques dont celles de l’Union européenne ne sont pas des moindres.
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Selon le discours politico-médiatique, seule la vaccination protègerait de l’épidémie et permettrait de « retrouver une vie normale ». Les campagnes vaccinales ont débuté depuis environ 6 mois dans le monde. Délai trop court pour évaluer l’impact sur les formes sévères, mais qui suffit à constater que la vaccination n'empêche pas la contamination, le « passe sanitaire » n’a donc pas de fondement.
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Absence d’enquête de terrain, «people-isation», perte de neutralité au profit d’un genre de militantisme, enquêtes à charge, dépendance totale envers la communication des agences gouvernementales et des industries, le journalisme tel que défini il y a 50 ans dans la Déclaration de Munich est en train de disparaître sous nos yeux, éclipsé par un «fact-checking» général aussi superficiel que biaisé.