Je parlerai ici des rêves comme moteur de vie, de ces rêves qui vous rattachent et vous font espérer à ce qu’il y a de plus humain dans l’homme, même au milieu de la plus noire des détresses.
Procéder à une réflexion mêlant photographie et voie de l’arc, le kyudo, qui est un des arts martiaux enseignés au Japon, peut sembler étrange à première vue, mais nous verrons que les points de comparaison et de ressemblance sont nombreux, et peuvent notablement enrichir la pratique et l’art de vivre photographiques.
Ce soir, la Grande Librairie était consacrée à la littérature jeunesse, avec cette question, comment amener les enfants à la lecture ? Cette émission, fort passionnante, m’a amené à la question suivante et complémentaire de la précédente, comment amener les enfants à cultiver et enrichir leur imaginaire, à en faire une richesse que personne ni aucun évènement ne pourra leur enlever.
Face aux événements récents, on peut se poser une question, quand on est artiste et écrivain : peut-on, doit-on continuer à écrire et à créer après la terreur et le choc qu’on créé ces attentats ?
« Ecrire, c’est instaurer un paysage. » Cette phrase de Maylis de Kerangal, extraite de son dernier livre, publié en 2015, A ce stade de la nuit, a été le point de départ de ma réflexion sur photographie et appartenance.
Portrait du photographe en tant qu’ermite. Ce titre pourrait surprendre ceux qui ne connaissent que les photographes de mode ou ceux qui pratiquent la photographie de rue, dont l’activité n’a, par définition, pas grand-chose de solitaire, au moins pour la partie visible.