-
Dans cet article, je m’interroge à propos d’un post, publié sur Facebook, le 22 juin 2021, par un « teufeur », et où je réponds, point par point, aux arguments avancés par ce texte, en prenant appui sur l’écologie sonore et les règles de vie et de comportement qu’elle propose.
-
Aimer par-delà la mort, voici le message que nous laisse la série de photos de Xavier Zimbardo, Les Belles disparues.
Les femmes représentées dans cette série, fugaces traces d’un passé enfoui, ne sont pas vraiment mortes, elles sont juste endormies et attendent que le regard du spectateur de l’œuvre de Xavier Zimbardo leur redonne vie et présence.
-
L’état de pandémie que nous vivons depuis un an et demi, aurait pu être l’occasion de grands changements sociétaux, un moment où nous aurions pu revenir sur des comportements nuisant à la société ou à la planète. Or, il semble qu’il n’en soit rien et que, bien au contraire, nous persévérions dans nos erreurs passées.
-
Au cœur de la nuit, je viens vers toi. La nuit nous enveloppe et nous fait une peau de silence et d’obscurité pour nous retrouver, une fois encore, sous la voûte céleste.
-
J’aime regarder les étoiles, la nuit, dans le silence et le calme nocturne. Couchée dans mon fauteuil relax, je contemple les étoiles du ciel, à l’œil nu ou à travers mes jumelles, et je navigue ainsi dans l’océan céleste et explore le cosmos, comme un navigateur de jadis, à la proue de son vaisseau.
-
J’aime à me réveiller la nuit, lorsque tout le monde dort et que tout est calme et tranquille. Dans l’obscurité et le calme nocturne, je me sens apaisée, l’esprit et l’âme sereins.
-
Du rouge-gorge comme messager des dieux et maître des choses cachées et secrètes.
-
J’aime ces heures d’avant l’aube, où tout est encore imprécis et indistinct et où l’on a l’impression que tout, et surtout l’inattendu et l’inouï, pourrait arriver.
-
Dans la nuit qui s’avance, mon amour, je viens vers toi. Alors que de partout, les rumeurs montent et que l’obscurité gagne, alors que de partout, les ténèbres se font de plus en plus en puissantes, menaçant d’ensevelir à tout jamais l’espoir et la lumière, je le proclame, il est plus nécessaire que jamais de célébrer l’aube et le retour de l’astre solaire.
-
La nuit, espace intense, espace sauvage, espace d’effroi aussi, pour beaucoup. Pour ma part, j’aime la nuit pour la sensation de liberté, d’intense liberté qu’elle offre, l’impression de grande solitude aussi, et le bienheureux silence qu’elle offre à mes oreilles.