Voici un récit du début 1899, un texte qui ne passa pas inaperçu. Il suscita la grande admiration de Tolstoï, pour une fois totalement enthousiaste... pour des raisons qui lui étaient propres.
Voici un très joli petit texte écrit à la fin de l'année 1897, après "Le Petchénègue" et "Dans son coin natal". Tolstoï loua le pittoresque du récit, même s'il émettait des réserves sur le contenu...
Voici un chapitre, entièrement consacré à l'évocation de la mort du poète Ossip Mandelstam, des « Récits de la Kolyma », immense et terrible recueil de souvenirs du Goulag rédigés par celui qui dit un jour – sans que son interlocuteur protestât – à Soljénitsyne : « Tu n'as pas connu le pire ».
Voici un petit récit de 1897, écrit à Nice et cousin du Petchénègue, en quelque sorte. La résignation triste qui s'en dégage s'oppose à l'espoir apparu dans le dernier texte terminé par Tchékhov quelques années plus tard, La Fiancée.
Voici un récit ... aussi peu médical qu'il est possible. Ce récit parut en décembre 1898 dans la revue littéraire mensuelle La Pensée russe, éditée à Moscou depuis 1880. L’auteur devait y réfléchir depuis juillet 1897, puisqu’on trouve dans l’un de ses carnets, à cette date, la réflexion sur la question délicate à poser aux condamnés et aux gens riches.
Un petit texte mordant de 1895. Il rappelle "Ariane" – dont l'exhortation finale change la perspective. Alors qu'ici... On peut recommander la lecture de "Lueurs" (nommé "Les Feux" dans d'autres traductions) pour contrebalancer l'impression de misogynie qu'on pourrait retirer de ce texte.
Un récit publié en 1907. Il est à l'origine de ce que l'on a appelé l'école littéraire de la Russie du Sud. Ilf et Petrov se rattachent à cette "école d'Odessa".