Voici trois articles parus dans deux journaux entre 1923 et 1926 : le premier est satirique, le second drolatique, et le troisième, beaucoup plus grave, est une méditation sur un criminel en série qui fit, à l'époque, couler beaucoup d'encre...
Voici le troisième récit des "Mémoires d’un chasseur", après "Kalinytch et le Putois" et "Iermolaï et la meunière"… Un récit portant moins sur la chasse que sur le servage et la piètre condition des humbles de l’époque.
Voici le récit qui ouvrit, en 1847, le premier cycle des « Mémoires d'un chasseur », recueil qui fit connaître Tourguéniev en Russie et, quelques décennies plus tard, en France.
Trois ans après l’automne de 1830 qui le vit déployer une importante activité littéraire, Pouchkine revient à Boldino, et sa production est à nouveau considérable : historique, poétique, narrative… et à nouveau fantastique, puisqu’il commence la nouvelle La Dame de pique… La nouvelle est terminée début 1834, et publiée dans la revue Bibliothèque pour la lecture.
Le récit paru à la fin de l'année 1962, juste après la "Crise des missiles" à Cuba, qui fit connaître son auteur du jour au lendemain, dans toute l'URSS d'abord, puis dans le monde entier.
Ce texte est le dixième des "Récits (en fait : Mémoires) d’un chasseur", premier recueil publié en 1847, suivi d’autres formant un cycle publié en 1852 et complété ultérieurement par les Nouveaux Récits d’un chasseur, l'édition définitive voyant le jour en 1874. Nouvelle charge contre le servage...
Voici, dans une nouvelle traduction, la célèbre nouvelle "Histoire d'un cheval" de Léon Tolstoï. Les grands thèmes de l'auteur s'y retrouvent, notamment la mort et le rôle néfaste de la propriété. Ce récit fut analysé par le formaliste russe Viktor Chklovski.
Voici un récit publié en deux temps, à cinq années d'intervalle. L'auteur réservait un sort funeste à tous ses personnages, on le supplia de n'en rien faire. Du coup, le récit connut, vers la fin, une étrange bifurcation... Cette traduction est bien sûr dédiée au blogueur L'Épistoléro, qui le mérite largement.
Un récit médité durant l'hiver 1897-1898 que Tchékhov passa à Nice, rédigé à son retour à Mélikhovo au début de l'été suivant et publié en septembre 1898. Texte sans joie qui n'est pas sans rappeler les grandes pièces de l'auteur.