1 – Accueillir et accompagner les exilés
ACCUEILLIR
La Maison des journalistes MDJ dispose, à Paris, d’un immeuble doté de 14 chambres. Celles-ci permettent d’accueillir des professionnels des médias1…
contraints de fuir leurs pays respectifs. Ils peuvent séjourner sur place le temps nécessaire à l’obtention d’un statut de réfugié.
ACCOMPAGNER
Les journalistes exilés qui sont abrités à la MDJ bénéficient d’un accompagnement social et culturel (démarches administratives, aides financières et matérielles, accès à des formations, enseignement du français, invitations à découvrir leur pays d’accueil via des visites à caractère culturel et professionnel)… Un suivi qui, si besoin, se poursuit au-delà de leur séjour à la MDJ (domiciliation, hébergement, mises en relations professionnelles,…)
2 – Participer au développement d’une information diversifiée
Les journalistes exilés disposent d’un média web à part entière le permettant de continuer à produire de l’information écrite et audiovisuelle avec le site de l’Oeil de la Maison des journalistes. Créé par la MDJ, ce média donne à chacun l’occasion de s’exprimer selon ses compétences et ses centres d’intérêt.
3 – Contribuer à la sensibilisation des jeunes aux défis d’une information libre
Forte des valeurs qu’elle défend, la MDJ a entrepris de réaliser des opérations de sensibilisation et d’éducation aux médias auprès de la jeunesse, opérations baptisées Renvoyé Spécial et Presse 19. Depuis de nombreuses années, la MDJ va ainsi à la rencontre des collégiens, lycéens, étudiants ou jeunes en difficulté avec l’appui des ministères de l’Education, de la Culture et de la Justice.
[Par Jean-Jules LEMA LANDU] L'heure de la justice, en Afrique, contre les crimes impunis, a-t-elle sonné ? Les deux procès qui viennent de s'y dérouler semblent l'indiquer. Le 30 mai, à Dakar, au Sénégal, c'est Hissène Habré, l'ancien président du Tchad, qui était devant les juges, tandis que le 31 mai, à Abidjan, en Côte d'Ivoire, ce fut le tour de Simone Gbagbo.
[Par Elyse NGABIRE] Il y a une année jour pour jour quand les ennemis de la liberté de la presse ont commis l’irréparable : la destruction de quatre radios et de deux chaînes de télévision. À l’origine, une tentative de coup d’État dont les professionnels des médias burundais ne sont pas responsables.
[Par Elyse NGABIRE ] Au lendemain de la célébration de la journée mondiale dédiée à la liberté de la presse, le ministre français des Affaires étrangères et du Développement international, Jean-Marc Ayrault a été reçu à la MDJ.Il portait un message d’espoir et de soutien à tous les journalistes en général et aux journalistes exilés en particulier.
[Par Elyse NGABIRE] Le 2 mai, à la veille de cette commémoration, Reporters sans frontières s’est associé à la Mairie de Paris pour décorer quatre professionnels des médias pour leur courage, leur combat dans la promotion de la liberté d’expression et celle de la presse.
[Par Jean-Jules LEMA LANDU] C’est depuis plus de deux décennies qu’existe le multipartisme en Afrique et que les élections s’y déroulaient. Mais, jusqu’il y a peu, celles-ci se résumaient à la pratique sinon des tricheries ouvertes, du moins à celle du vote obligatoire pour les dictateurs ou, alors, au fait de l’ignorance totale du sens de l’acte que posait l’électeur.
[Par Johanna GALIS]
Dans la salle tamisée du cinéma Luminor, situé dans l’une de ces rues sinueuses du quartier du Marais, le Festival International du Film des Droits de l’Homme s’est déroulé pendant les premiers jours du mois d’avril.
[Par Rana ZEID]
Traduit de l’arabe au français par Racha Lotfi
La branche était cassée, séparée du reste de l’arbre, mais elle restait accrochée aux autres branches, je la voyais comme si elle représentait toutes les choses révolues, le vent ne l’avait pas encore faite tomber sur le sol, le vent lui prédestinait quelque chose, qui suis-je pour pousser le vent d’un coup de main?
[Par Elyse NGABIRE]
La Maison des journalistes a eu l’honneur d’accueillir ce jeudi, 31 mars, l’exposition Histoires sans fin présentée par l’organisation People In Need, un centre tchèque pour les Droits de l’homme et la Démocratie. Douze visages emblématiques de la violence et de l’impunité du régime tchétchène ont été présentés au public.
[Par Bernadette COLSON]
Le bi- place posé à une aile d’avion de l’entrée principale du lycée est là pour nous rappeler la présence sur le site d’un club aéronautique et l’implication du lycée Edouard Branly de Créteil dans les projets scientifiques.
[Par Lisa Viola ROSSI] Quand la philosophie questionne la liberté d’expression, « le soutien à la création d’un réseau international de dissidents » devient une priorité.