marie bardet

Ecrivaine

France

Sa biographie
Marie Bardet est l’auteure d’un premier roman remarqué (" A la droite du père ", sélection de printemps du Renaudot 2018 et finaliste du prix Senghor) et de " Babylift ", toujours aux éditions Emmanuelle Collas, dont le titre fait référence à une opération d’adoption massive d’enfants viêtnamiens à1… la fin de la guerre américaine. Elle contribue à la revue de littérature et de réflexion " Apulée " (éditions Zulma).
Son blog
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Ses billets de blog

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  • Adoptions illégales : une enquête interministérielle, oui, mais pour tous !

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    Le 16 décembre, le secrétaire d'État en charge de l'enfance Adrien Taquet a annoncé la tenue prochaine d'une commission d'enquête indépendante sur des adoptions internationales illégales ayant eu lieu entre 1973 et 2006. L'association RAÏF mobilisée depuis 2021 prend acte et pose ses conditions.

  • Pour une commission d'enquête sur les adoptions illégales à l'international

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    J'apporte mon soutien au collectif RAIF (Reconnaissance des adoptions illégales en France) parce que j’ai été mise face au déracinement identitaire des adopté.e.s privé.e.s de l’accès à leurs origines, et des séquelles qui en résultent, en écrivant une fiction sur laquelle la réalité s’est alignée de façon stupéfiante.

  • Lettre ouverte à mes anticorps

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    Chère immunité, mon carnet n’était pas destiné à recueillir à mon retour de voyage ces annotations lapidaires, relevés de températures et autre grammaire syntagmatique qui prouve que le virus à couronne n’est pas une donnée abstraite, qu’il a un corps, le mien parmi des millions d’autres.

  • A NICE, LA LUNE EST PLEINE, UNISSONS-NOUS

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    Même aux heures chaudes que nous traversons, je continue à préférer la brûlure du soleil au repli sous le parasol identitaire et reste convaincue que la lutte contre l’islamisme ne se joue pas sur la plage, mais en Méditerranée, « cette machine à fabriquer des civilisations » selon la phrase de Paul Valéry.

  • TCHUE Jong-Lim, écrivain persécuté en Corée du Sud

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    En 2015, TCHUE Jong-Lim découvre en salle un film à gros budget, "Assassination", qui reprend à la lettre son roman édité en 2003, "Corean Memories". Il porte plainte pour une atteinte au droit d'auteur, et c'est le début du combat d'un écrivain contre une industrie lourde dans un pays où la propriété intellectuelle est un concept vide...