
Revendications d'une Pandémie
Collectif militant inter-sectionnel
France
Sa biographie
Revendications d’une Pandémie est un collectif français qui fait partie d'un réseau européen de militants né au début du corona virus : Krav fra en Pandemi au Danemark, et Demands from a Pandemic en Irlande et au Royaume-Uni.
L'état d'urgence sanitaire ne fait que mettre en lumière et exacerber le système…
inégalitaire dans lequel nous vivons.
Le collectif formule des revendications en temps de pandémie, en se basant sur le travail d'associations de terrain.
Revendications d'une Pandémie a donc été à l'initiative de multiples manifestations aux fenêtres durant le confinement, ainsi que pris part à des actions européennes, et continue ses actions post confinement.
C'est un collectif inclusif et inter-sectionnel : féministe, antiraciste, anticapitaliste, anti-colonial.
Le collectif est composé de chercheur.euse.s, militant.e.s, étudiant.e.s et journalistes.
Son blog
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Le blog de Revendications d'une Pandémie
Ses éditions
- suivie par 110 abonnés 1er mai: confiné·e·s mais mobilisé·e·s!
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Ses billets de blog
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Etat des lieux du confinement: le glissement vers un Etat policier
Un mois après la fin du confinement, il est temps de faire l’état des lieux des mesures mises en place pendant cette période. La restriction de certains droits et libertés, le déploiement des forces de police, le recours à la surveillance de masse, le renforcement de l’exécutif et l’affaiblissement des contre-pouvoirs sont symptomatiques d’un glissement d’un État de droits vers un État policier. -
En France aussi, la police tue : 12 morts pendant le confinement
Le meurtre de George Floyd aux Etats Unis et la nouvelle expertise dans l'affaire Adama Traoré en France nous rappellent que partout, les violences policières ciblent les personnes racisées. Alors que le racisme systémique des Etats-Unis est vivement critiqué, on interroge plus difficilement ces mêmes violences en France. Or, durant le confinement 12 personnes sont mortes aux mains de la police.
Ses articles d'édition
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Édition 1er mai: confiné·e·s mais mobilisé·e·s!
Tribune: ce 1er Mai, repensons le travail, exigeons la rupture
La pandémie nous oblige à réévaluer l’utilité sociale que nous donnons aux différents corps de métiers, à repenser leur rémunération ainsi que la division du travail. Nous devons repenser nos modèles de société et de solidarités pour une protection plus juste de tous et toutes les travailleur.se.s, y compris celles et ceux de l’économie dite informelle. Ce 1er mai, repensons le travail.