"No one puts its children in a boat unless the water is safer than the land". De la voix de Barbara Hendricks. Contre les constructions langagières de la droite (dans son ensemble, et même les subtilités1…
des socio traitres).
Je m'emberlificote encore les pinceaux lorsqu'il s'agit de causer Anarchie. Mais je la kiffe. Le Dieu Dollar et sa putain nous ont joué un beau tour ; il faut avoir des tripes et de l'imagination pour rejoindre la mobilisation plutôt que de se masturber frénétiquement devant des myriades de pixels érotisés.
C'est, comme le texte le propose, un aveu de fausse déclaration fiscale.
J'en ai assez de traîner cette casserole qui, en sus de me rendre parano, accentue le lien que j'ai et que je ne souhaiterais pas avoir avec mon parâtre, dont la famille a décidé de gérer mon héritage depuis mon internement en cliniques psychiatriques chiliennes moribondes et pourtant si catho.
Aujourd'hui, mon meilleur pote et moi avons pris la décision de faire de la musique ensemble. Je suis souvent chez l'ami. L'on se connaît. L'on peut se dire les choses franchement. Que la bibine coule trop abondamment ; qu'il devrait ouvrir la fenêtre et Mediapart plus souvent ; que les voix, c'est la musique qui va les emporter. D'ailleurs, c'est maintenant que je m'y mets ! Musique !
J'essaie par tous les moyens de m'immiscer dans le travail de l'équipe du présent journal, donc je drague (tant que j'en ai la force). Deux petits poèmes.
J'espère que personne n'est allergique aux rimes... en voici quelques unes sorties de mon exaspération à la suite de la lecture d'un article du Monde Diplomatique intitulé L'aire de la finance autoritaire. Je vibrais de pouvoir les partager...