Le soutien à la Palestine s'intensifie sur les campus US et européens. Ces mobilisations, violemment réprimées, sont accusées de contribuer à une « dérive antisémite ». Mais qu'en est-il réellement ?
La fête de Pessah, une des plus politiques du calendrier juif, a démarré lundi dernier. Cette année, elle prend une saveur particulièrement amère, comme les herbes que la tradition nous invite à manger…
À l’heure où le mouvement de solidarité avec la Palestine subit en France une répression renforcée, le gouvernement allemand vient de franchir une nouvelle étape dans sa propre dérive autoritaire.
Alors qu'elle était prévue depuis des mois, la marche contre le racisme du dimanche 21 avril vient d'être interdite par la préfecture de Paris. Le collectif Tsedek! dénonce cette nouvelle attaque contre la liberté d'expression et appelle à la solidarité avec les organisatrices de la marche.
Alors que se tiendra samedi 30 mars à Paris un meeting international historique entre groupes juifs non-sionistes et/ou antisionistes de la diaspora européenne et au-delà, accompagnés de représentant.es des mouvements de libération de la Palestine et d'allié.es d’organisations politiques, nous revenons ici sur les raisons qui nous ont poussé à organiser cette rencontre.
Nous, organisations juives anticoloniales de différents pays, appelons les organisations et militant·es se réclamant de l’émancipation collective à se réunir à Paris le 30 mars 2024. La lutte contre l’antisémitisme est indissociable du combat contre toutes les formes de racisme. Face au tournant autoritaire, face au racisme et au colonialisme, faisons bloc !
Les narratifs autour des crimes perpétrés le 7 octobre par le Hamas ne font plus débat: de l’extrême droite à une partie non négligeable de la gauche, ils seraient le produit de l’antisémitisme.