Banlieue Nord-Est lyonnaise ce jeudi, vers 13h. Je suis devant un arrêt de bus avec Elsa, une amie qui a monté un atelier d’écriture ayant débouché sur une pièce de théâtre, et dont la répétition générale doit avoir lieu cet après-midi à la MJC Jean Macé à Lyon.
Hier à Washington se tenait l’audience publique de l’ex patron du FBI, James Comey, embauché à ce poste par Barack Obama en 2013 et brutalement licencié par Donald Trump le 7 mai 2017.
Un élément majeur du débat d’entre deux tours de cette élection, au-delà de l’hystérie sur la question de l’abstention, est la question de la souveraineté monétaire de la France.
La théorie de l’univers holographique est un élément récurrent de ce blog (1). Hautement spéculative mais en même temps capable de résoudre nombre de problèmes avec les théories dominantes du Big Bang et de la mécanique quantique, elle est devenue un sujet de recherche expérimentale autant que théorique. Et on semble avoir un premier résultat expérimental.
Parfois je suis effaré. Cela fait quinze ans que je vis en France, que je participe à ma petite échelle à la vie de ce beau pays, et que j’y croise un grand nombre de personnes qui se bougent pour faire avancer les choses dans le bon sens. Le bon sens, c’est-à-dire pour une meilleure démocratie, moins d’inégalités, moins de violence institutionnelle et plus d’humanité dans nos rapports aux autres
Un gratte-ciel en structure d’acier peut-il, même en principe, s’écrouler suite à un impact aérien et/ ou à un incendie? Cette polémique datant des événements du 11 septembre 2001, et assez bien suivie sur ce blog (1), vient de faire son entrée au journal scientifique Europhysicsnews avec un article intitulé "15 years later: on the physics of high-rise building collapses" (2).