Dans son premier long-métrage, Iris Kaltenbäck campe Lydia, sage-femme, magnifiquement interprétée par Hafsia Herzi. Traversant une phase amoureuse qui lui rend difficile l’accès à cet état, la jeune femme est soudain dangereusement fascinée par la maternité de sa meilleure amie. Entre Chaperon Rouge et louve…
Tuer pour ne pas être tué ou le phénomène des « clicas » au Guatémala, approché par un réalisateur nord-américain fortement impliqué dans ce pays d’Amérique Latine.
Le nouveau film du réalisateur iranien Mani Haghighi, « Les Ombres persanes », propose une approche intéressante du thème du double, rénové par sa conjonction à celui du couple.
La jeune cinéaste russe Marusya Syroechkovskaya signe un premier long-métrage documentaire puissant, sorte de tombeau musical et cinématographique offert à son ami, disparu le 4 novembre 2016, Kirill Morev.
Dans son premier long-métrage, Ainara Vera embarque au-delà du Cercle Polaire, vers des paysages somptueux, mais qui permettent de vérifier une nouvelle fois que « Voyager n’est pas guérir son âme », à travers les trajectoires de deux sœurs… D’où deux latitudes, deux attitudes.
Le 7 juin prochain, sortira « Le Vrai du faux », nouveau long-métrage d’Armel Hostiou. Retenez cette date et soyez prêts à ne pas manquer ce documentaire hautement réjouissant, à partir d’une histoire de piratage de compte Facebook… Ou quand la réalité dépasse, et de loin, la fiction…
Le réalisateur argentin Mariano Biasin nous offre, avec Sublime, un premier long-métrage solaire et délicat sur la subtile frontière séparant l’amour de l’amitié…
Plus de vingt-cinq ans après son magnifique « La Moindre des choses » (1996), Nicolas Philibert revient vers l’univers de la psychiatrie, mais cette fois-ci embarquée, à bord d’une « Nef des Fous » amarrée au plein cœur de Paris.
Le film sera projeté le mardi 16 mai, à 20h, à L’Entrepot, en présence du réalisateur et de Linda de Zitter, dans le cadre de CinéPsy.
Premier long-métrage du réalisateur colombien Fábian Hernández, « Un Varón » impressionne par son parti pris délibéré d’un refus de la violence et offre à cette occasion un regard renouvelé sur les rues de Bogotá.
Opio, jeune garçon de treize ans, s’est de lui-même mis en quête d’un travail, afin de pouvoir contribuer à nourrir les bouches toujours plus nombreuses de sa famille. Un documentaire saisissant du jeune réalisateur Simon Panay, qui s’attache ici aux pas d’un enfant travaillant dans une mine d’or du Burkina Faso…