Le blog de Acanthe

Le 23 novembre sort sur nos écrans un documentaire saisissant, sorte de pendant aux « Magdalene Sisters » (2003), de Peter Mullan. Mais il s’agit ici de la France, jusque dans les années 70… Il est des documentaires auxquels on voudrait pouvoir ne pas croire, à propos desquels on aimerait pouvoir se rassurer en se disant qu’ils ne sont que fiction. « Mauvaises filles » est de ceux-là. Une œuvre à ne pas manquer. 

En ce 16 novembre 2022, sort sur nos écrans le nouveau film de l’originale et talentueuse Emily Atef. À ne pas manquer, et pas seulement parce qu’il nous permet de retrouver Gaspard Ulliel, dans son dernier rôle.

Après plusieurs longs-métrages souvent récompensés, le réalisateur brésilien Sérgio Tréfaut revient vers nous et vers son pays avec un superbe documentaire, consacré à de vieux habitants de Rio de Janeiro s’adonnant à l’art du chant dans les anciens jardins présidentiels. Ou quand il n’y a pas loin, des Champs Élyséens au Paradis…

Petit écho du Festival de cinéma allemand, dont la 27ème édition se tient actuellement au cinéma L’Arlequin, à Paris. Ou lorsqu’un film géorgien, financé en coproduction par l’Allemagne, trouve miraculeusement à s’inscrire dans ce Festival…

Le dernier des « Six Contes moraux » du grand Rohmer constituerait un formidable bain de réjuvénation pour ouvrir une ère post MeToo…

Prix Spécial du Jury au Festival du Film Britannique de Dinard 2022, cette première réalisation de l’acteur Celyn Jones attire l’attention sur le rôle des aidants, face aux lésions cérébrales. Un projet sauvé par la présence de l’immense Charlotte Gainsbourg…

Petite excursion dans l’espace-temps pour mieux se retrouver, et qui permet déjà de revoir la très expressive Marta Nieto, héroïne du fascinant « Madre » (2019), de Rodrigo Sorogoyen.

Au-delà de l’histoire singulière qui se trouve ici livrée, le réalisateur espagnol permet une nouvelle fois de mesurer combien « perseverare » est, non pas « diabolicum », comme l’affirme le dicton, mais « humanissimum ». Et combien cette « persévérance » est grande, car digne de l’obstination des « bêtes », et élevant l’Homme au rang des Titans.

Un classique, qui n’a pas usurpé sa notoriété.

Le réalisateur mexicain, né le 28 août 1979, nous livre un film faussement solaire, taraudé par une mélancolie très élégamment assumée par son principal acteur, Tim Roth.