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l'Iran sera libre
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Le mouvement inédit dans les secteurs pétrolier et gazier en Iran ( Grèves)
Depuis plus d’une semaine les secteurs pétrolier et gazier en Iran sont touchés par un mouvement de grève sans précédent depuis l’avènement de la théocratie iranienne. Ce mouvement de grève a pris depuis samedi dernier l’allure d’un débrayage organisé dans les raffineries et les centres pétroliers du pays. le régime se trouve impuissant devant l'ampleur du mouvement. -
L’alternative à la théocratie s’impose en Iran
Le grand rassemblement pour un Iran libre et démocratique a su faire fi de la pandémie liée au coronavirus. De fait, le vendredi 17 juillet a vu des milliers d’Iraniens et des centaines de personnalités politiques à travers le monde se regrouper derrière la cause du peuple iranien… En téléconférence. Une première mondiale à cette échelle. -
Le traitement des opposants au régime iranien ne peut pas être banalisé !
Le vice-ministre de l’économie du régime iranien, Mohammad Khazaee, a déclaré ce jour dans une interview aux Echos, à propos des récents mouvements populaires dans le pays : « ce n’est pas considérable, le genre de choses qui arrive partout, notamment en France ». es propos sont scandaleux et inacceptables. C’est faire insulte aux victimes, c’est faire insulte à la France. -
Quand le messonge est permis pour dénigrer l'opposition iranienne
Au moment où le régime des mollahs est ébranlé par le soulèvement des Iraniens à travers le pays, il a vivement besoin de viser son opposition. Dans ces conditions cette théocratie honnie ne pouvait espérer mieux, qu’une campagne de dénigrement contre la principale force d’opposition : les Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI), notamment dans un article paru le 4 janvier dans le journal Figaro. -
Une vingtaine de prisonniers politiques sunnites exécutés mardi en Iran
Mardi 2 août les familles d’une vingtaine de prisonniers sont arrivées trop tard devant la prison de Gohardasht (à l’ouest de Téhéran). On leur apprend que contrairement à ce qui avait été annoncé, elles ne pourront plus dire adieu à leurs fils. Il faudrait qu’elles se rendent à la morgue à Kahrizak (sud de Téhéran) pour récupérer les corps. Ces prisonniers politiques ont été executés à l'aube.