Félix Tshisekedi a fait le pari de la jeunesse en nommant ce lundi Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, 43 ans, à la Primature. Le nouveau Premier ministre n’est pas un poids lourds de la politique congolaise et devrait rester discret face à un hyper-président aux pleins pouvoirs.
Les avocats des familles de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, assassinés en 2010, demandent la reprise complète du procès après les révélations de deux policiers ayant participé au double meurtre.
Le président congolais a pris ce week-end la tête de l’Union africaine (UA) pour une année. Un mandat qui offre une chance à Félix Tshisekedi de conforter sa stature internationale et de renforcer sa légitimité en interne.
Sous la pression politique et judiciaire, le très pro-Kabila président du Sénat, Alexis Thambwe Mwamba, jette l’éponge et laisse la voie libre à renversement des rapports de force à la chambre haute.
Un rapport de l’ONG The Sentry dénonce les affaires que souhaitaient faire le patron de la Commission électorale (Céni), Corneille Nangaa, après les élections de 2018, entachées d’irrégularités et de corruption.
L’Assemblée nationale a fait tomber ce mercredi le gouvernement de Sylvestre Ilunga. Le président Tshisekedi se retrouve à la tête d’une nouvelle majorité hétéroclite, mais reste sous la menace des députés pro-Kabila dissidents, majoritaires au sein de sa nouvelle coalition.
Comment faire cohabiter l’UDPS, l’UNC, des anciens kabilistes FCC, Moïse Katumbi et Jean-Pierre Bemba ? C’est la délicate équation qu’essaie de résoudre le président Félix Tshisekedi au sein de son « Union sacrée » pour récupérer une majorité favorable à l’Assemblée nationale.
« La situation des droits humains en République démocratique du Congo (RDC) s’est dégradée en 2020 sous la présidence de Félix Tshisekedi, après une première année de mandat marquée par des avancées » constate le rapport annuel de Human Rights Watch (HRW).
A deux ans de la prochaine présidentielle, la nécessaire restructuration et dépolitisation de la Commission électorale (Ceni) fait consensus, mais la volonté politique manque. Le dernier rapport du Groupe d’étude sur le Congo (GEC) avance ses pistes de réforme et espère que la fin de la coalition CACH-FCC ouvre des opportunités de changement.
Le dernier rapport du groupe d’experts de l’ONU affirme que des militaires rwandais et burundais opèrent dans l'Est du pays. Kigali et Gitega démentent, Kinshasa reste silencieuse et la controverse enfle au Congo.
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