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Billet de blog 17 août 2021

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²lfem²-La France en marche Macron est La France de l'obscurantisme social et sociétal

Vous m'avez écrit, Monsieur le Président (Emmanuel Macron), souvenez vous:...///... "C'est complexe, il faut être intelligent à ce sujet. Vous devez vous débarrasser de la protection avant de pouvoir la voir, puis vous l'éliminez avant de vous en débarrasser aussi. Tenez les à leurs crimes". De qui parliez vous? Souvenez vous!... des entreprises de France... c'est bien sûr...

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              *PRÉSIDENTIELLE 2022*

Le Président de la République française est un fieffé menteur!

   Cliquez sur le lien suivant:

La France du parti "en marche", créé par le candidat Macron en 2016, est La France de l'obscurantisme financier, social et sociétal.

C'est la France des Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises, appliquées par le pouvoir monocratique régalien.

Le Président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron, prépare sa réélection sur la base de la confiance à lui accorder pour tous ses dénis, en particulier sur celui de mettre fin à sa pratique régalienne des Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises pour payer les Retraites, la Sécurité sociale, le Chômage, la Vieillesse, la Dépendance, ainsi que pour la création d'un Revenu universel, en référence à ses échanges épistolaires 2017-2018-2019 avec moi, Alain Saiche.

FACE À L'HISTOIRE DE LA FRANCE DU XXIè SIÈCLE,

1-J'interdis au Président de la République de mentir sur la Gestion des financements sociaux.

2-J'interdis au Premier Ministre de mentir sur le financement des retraites.

3-J'interdis à Bruno Le Maire de mentir sur le financement des Retraites.

4-J'interdis aux députés et aux sénateurs de mentir et tromper la population sur le financement des retraites.

5-J'interdis au Conseil d'Etat de mentir sur les financements des Retraites!

6-J'interdis à la Cour des comptes de mentir sur les financements des Retraites.

7-J'interdis au Conseil constitutionnel de mentir sur les financements Retraites!

8-Je demande aux 36 000 Maires de France d'interdire au pouvoir exécutif central la pratique des Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises pour financer les Retraites, la Sécurité sociale, le Chômage, la Vieillesse, la Dépendance, et la création d'un Revenu universel. Cliquez sur le lien N° 1 ci-après:

9-Je demande à Me Dupond-Moretti, Garde des sceaux, Ministre de la justice, pourquoi ne pas lancer la prodédure cf l'Art 40 du CPP? Cliquez sur le lien N° 2 ci-après: 

10- Je demande à Monsieur Pierre Moscovici, Président de la Cour des comptes, de vérifier les comptes de l'Etat de plus près, cf Cliquez sur le lien N° 3 ci-après:

Bonne lecture et bonne compréhension des problèmes économiques posés aux 67 millions de consommateurs.

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La déclaration des droits de l'homme et du citoyen.

Article 11- La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme...///... Article 12- La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux à qui elle est confiée. Article 14.- Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes..

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Inspirée de la déclaration de l'indépendance américaine de 1776 et de l'esprit des Lumières, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 marquait le début d'une ère politique nouvelle. Elle n’a cessé dés lors d’être une référence. La Ve République a explicité son attachement à elle en la citant dans le préambule de sa constitution, et le Conseil constitutionnel a reconnu en 1971 sa valeur constitutionnelle.

L'histoire

La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen est née à l’été 1789, du projet de l’Assemblée constituante, formée par la réunion des États Généraux, de rédiger une nouvelle Constitution, et de la faire précéder d’une déclaration de principes.  

Les propositions affluent. L’Assemblée constituante charge cinq députés, Démeunier, La Luzerne, Tronchet, Mirabeau et Redon, d'examiner les différents projets de déclaration, de les fondre en un seul et de le présenter à l’Assemblée. Article par article, la déclaration française est votée du 20 au 26 août 1789.

À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.

Ratifiée seulement le 5 octobre par Louis XVI sous la pression de l'Assemblée et du peuple accouru à Versailles, elle sert de préambule à la première Constitution de la Révolution Française de 1791. Bien que le texte ait été bafoué par la suite par nombre de révolutionnaires, et qu’il ait été suivie deux autres déclarations des droits de l'homme en 1793 et 1795, c'est le texte du 26 août 1789 qui s’est imposé à la postérité, c’est lui qui a inspiré des textes similaires dans de nombreux pays d'Europe et d'Amérique latine tout a long du XIXe siècle,  et c’est sur lui que s’appuient les constitutions françaises de 1852, 1946 et 1958. 

La Déclaration universelle des droits de l’homme, signée à Paris le 10 décembre 1948, tout comme la Convention européenne des droits de l'homme, née à Rome le 4 novembre 1950, revendiquent le même héritage.

Le texte

Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.

En conséquence, l'Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être Suprême, les droits suivants de l'homme et du citoyen.

Article premier

- Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.

Article 2.

- Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.

Article 3.

- Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.

Article 4.

- La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Article 5.

La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.

Article 6.

- La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

Article 7.

- Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance.

Article 8.

- La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Article 9.

Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Article 10.

- Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.

Article 11.

- La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

Article 12.

- La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.

Article 13.

- Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.

Article 14.

- Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

Article 15.

- La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

Article 16.

- Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.

Article 17.

- La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.

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Voulour gouverner de manière monocratique amène Notre Pays, La France est à un tournant de son histoire républicaine, Monsieur le Président! 

Vouloir imposer au peuple de France des réformes comme celles du financement des Retraites, de la Sécurité sociale, du Chômage, de la Vieillesse, de la Dépendance, et de la création d'un Revenu universel par la force des Matraques est contre nature et relève de la" Monocratie régalienne". Il en serait alors fini de la démocratie républicaine au bénéfice de la "Monocratie des Riches".

               *PRÉSIDENTIELLE 2022*

Vous êtes un fieffé menteur, Monsieur le Président!

Le Président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron, prépare sa réélection sur la base de la confiance à lui accorder pour tous ses dénis, en particulier sur celui de mettre fin à sa pratique régalienne des Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises pour payer les Retraites, la Sécurité sociale, le Chômage, la Vieillesse, la Dépendance, ainsi que pour la création d'un Revenu universel, en référence à ses échanges épistolaires 2017-2018-2019 avec moi, Alain Saiche.

1-J'interdis au Président de la République de mentir sur la Gestion des financements sociaux.

2-J'interdis au Premier Ministre de mentir sur le financement des retraites.

3-J'interdis à Bruno Le Maire de mentir sur le financement des Retraites.

4-J'interdis aux députés et aux sénateurs de mentir et tromper la population sur le financement des retraites.

5-J'interdis au Conseil d'Etat de mentir sur les financements des Retraites!

6-J'interdis à la Cour des comptes de mentir sur les financements des Retraites.

7-J'interdis au Conseil constitutionnel de mentir sur les financements Retraites!

8-Je demande aux 36 000 Maires de France d'interdire au pouvoir exécutif central la pratique des Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises pour financer les Retraites, la Sécurité sociale, le Chômage, la Vieillesse, la Dépendance, et la création d'un Revenu universel. Cliquez sur le lien ci-après:

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                        Bonjour La France, Françaises, Français.

                                         Mise à jour au 17.08.2021

                        *AFIN QUE NUL N'IGNORE ET N'OUBLIE*

Cette Lettre ouverte, qui vous est destinée, a pour but d'appeler votre attention sur les dérives qui découlent de la pratique des "Arnaques aux cotisations sociales et fiscales des entreprises", organisées et entretenues au niveau du pouvoir, prisonnier du Verrou de Bercy.

C'est la raison pour laquelle je demande à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, s'il a vraiment pour objectif de mettre en applications des réformes dont il m'a écrit, par correspondance épistolaire, vouloir mettre en application, via la réforme de la fiscalité des entreprises par "La Gestion par la Méthode du Révisionnisme économique".

Bonjour Monsieur le Président.

Vous me connaissez bien, dans la mesure où nous avons échangé nos idées sur l'économie et comment parvenir à redresser la situation de notre pays sur le sujet. 

Je vais donc prendre la permission et la précaution de vous en rappeler la teneur essentielle de celles ci par copie intégrale de quelques extraits, comme ci après.

Vous avez commencé à entretenir des messages Twitter avec moi en 2017, année où vous êtes devenu Président de la République française.

Vous vous étiez intéressé à mes écrits sur l'économie dont voici quelques extraits.

*Le 21 Août 2018, vous m'avez recontacté: "Bonjour Alain, comment ça va? ... "Je suis de retour à Paris et mes réformes reprendront demain. Je voudrais vous demander quelque chose. Je vais relire votre article aujourd'hui mais "je veux que vous me vendiez votre idée".

Mon idée était La Méthode de Gestion par la Méthode du Révisionnisme économique" qui vous est expliquée plus loin.

Puis, le 20 octobre 2018: "Bonjour Alain, comment vas tu? Votre demande est raisonnable et je vais le faire. Je vais m'asseoir et lire votre article et donner une copie à mes experts pour le lire aussi. Si cela ne vous dérange pas bien sûr. Je suis un homme raisonnable et il semble que les entreprises ne payent pas de charges sociales. Je résoudrai le problème en utilisant vos méthodes. Comment ça sonne?

Le 28 novembre 2018: "Je pense que nous pourrions faire une bonne équipe. Nous avons un intérêt commun à améliorer la France.

Le 9 décembre 2018: "Je vous ai dit que je le ferais. Ne t'inqiète pas".

Le 30 décembre 2018:..."J'ai pris en compte votre analyse.

"D'accord, merci. Je discuterai avec le Premier Ministre Philippe et je vous inviterai à discuter de votre stratégie et à voir ce qui peut être fait...///... J'ai reçu copie papier de vos idées et je discuterai avec mon équipe et vous répondrai quand je le ferai. Je comprends que vous n'essayez pas de nuire à la République".

Le 9 décembre 2018: "Je vous ai dit que je le ferais. Ne t'inqiète pas".

Le 26 janvier 2019:.. "Je vous exhorte à avoir une réunion avec moi ou mon Premier Ministre pour en discuter. Voulez vous accepter? Je demanderai qu'une invitation vienne à vous pour discuter de vos projets. Puis je demander où envoyer l'invitation? E mail ou adresse ou quelque chose?

La suite? Elle est toujours à votre méditation, sous le harcèlement de votre entourage, placé sous la haute protection du Verrou de Bercy.

Vous aviez pourtant retenu que:

LA FRANCE ÉTAIT LE PAYS DES ARNAQUES AUX COTISATIONS SOCIALES ET FISCALES DES ENTREPRISES. Le problème prélminaire à expliqué reposait sur le calcul élémentaire des coûts de production et de vente des marchandises. Pour bien le comprendre, il était nécessaire de "SE METTRE DANS L'AMBIANCE DES ARNAQUES AUX COTISATIONS SOCIALES ET FISCALES DES ENTREPRISES, telles que pratiquées actuellement et ci après expliquées par:   

À VOS NEURONES!

1- Sachant que le montant de toutes les cotisations sociales des entreprises sont incorporées dans les calculs des coûts de production, et de vente,

2- Sachant qu'une marge bénéficiaire, peut aller et varier, par exemple, de 3,4,5,10, etc..../.... jusqu'à 50 % voire plus et même beaucoup plus,

3- Sachant que les cotisations sociales, affectées aux coûts de production, rapportent des sommes correspondantes aux marges bénéficiaires affectées aux produits pour déterminer les prix de vente,

4- Sachant que les entreprises reversent les charges sociales perçues auprès des consommateurs aux organismes chargés des recouvrements aux taux prévus de par la loi, c'est à dire sans les bénéfices rapportés par les marges bénéficiaires des cotisations socialesdes entreprises affectées aux coûts de production et rapportées par les prix de vente,

5- Il en découle que les entreprises conservent par devers elles la différence entre les sommes correspondantes entre les bénéfices rapportés par les prix de vente et les sommes reversées aux organismes chargés des recouvrements,

6- Sachant, de manière irréfragable, que les cotisations sociales des entreprises ne peuvent, en aucun cas, être considérées comme étant des investissements, et encore moins comme étant des charges,

7- Il en découle que les cotisations sociales des entreprises sont des sommes qui rapportent des bénéfices aux entreprises, le plus souvent à courts termes, voire à très très courts termes, au taux de la marge bénéficiaire.

8- Conclusion: Contrairement à ce qui se dit, les entreprises ne payent aucune cotisation sociale pour financer les Retraites, la Sécurité sociale, le Chômage, la Vieillesse, la Dépendance, ne cotiseront pas pour le Revenu universel à créer, ainsi que pour toutes les autres cotisation sociales existantes.  

Question, et j'en resterai là pour cette fois: "Pour quelles raisons prétendre qu'accorder des subventions aux entreprises est une bonne chose pour l'économie et la relance, sachant que les prix de vente ne baissent jamais, qu'il est dit à l'envi "que les salaires sont trop élevés", alors que le pouvoir d'achat baisse et que les caisses de retraites, Sécurité sociale, Chômage, etc, etc... sont toujours déficitaires.

*De plus, les subventions accordées pour l'achat d'une voiture neuve sont inconstitutionnelles, car discriminatoires aux revenus à l'encontre des pauvres, des chômeurs et des plus défavorisés.

Le Conseil d'État, la Cour des Comptes et le Conseil constitutionnel en sont bien informés, mais pour l'instant, rien n'y fait

J'y reviendrai plus tard. En attendant, J'EN APPELLE À LA RAISON.

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Vous êtes donc actuellement face vos protres contradictions.

1- SOIT respecter votre parole vis à vis de "moi citoyen", pour devenir l'Homme d'État que devrait être le Président de la République française, Président de tous les Français, et pas seulement le Président des riches, cf la teneur de mon Blog 

2- SOIT rester sur le chemin du Dégagisme sur lequel vous vous trouvez et poursuivre votre fin de quinquennat suivant LE FIL DU BLOG

Pour ma part, je vous souhaite personnellement, pour en conclure, Monsieur le Président, que vous sachiez faire preuve d'autorité régalienne pour ramener vos conseillers, que j'appelle vos "Fous du roy" , qui préfèrent manger le matin et, en référence à "écclésiaste 10-16, permet à chacun de vos compartiotes de penser et de déclarer: Malheur à toi, Pays dont le roi est un enfant et dont les princes mangent dès le réveil".

Bien entendu, comme je vous l'ai proposé, et pour faire suite à votre demande de me faire parvenir une invitation à venir vous exposer la nouvelle gestion des finances publiques de la Sécurité sociale, ainsi qu'à Monsieur Jean Castex, Premier Ministre, la stratégie à adopter pour relancer l'économie par la Méthode de Gestion du "Révisionnisme économique" de manière fiable et durable, dans le stict respect des règles commerciales en vigueur qui permettrait, en même temps un retour à la paix sociale dont notre pays a besoin,

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma très haute cosidération.

Armand de Franceville, Nom de Plume, Alain Saiche, Nom Patronyme, 2 Avenue Casteroun, St Vincent de Tyrosse.

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