Rendez-vous samedi 4 mai 2024 pour la 2ème rencontre du cycle "Féminisme, guerres et impérialismes" lors de laquelle nous parlerons des résistances féministes en temps de guerre au Soudan, en Érythrée, à Djibouti et en Somalie.
Cette rencontre sera suivie d'une AG et de groupes de travail.
Le 8 Mars 24, « Nous Vivrons » a défilé à Paris pour dénoncer le manque d’empathie supposé des féministes envers les victimes israéliennes. Alors qu’il est factuellement établi que le traitement de la mémoire est incomparablement plus important et respectueux pour les victimes israéliennes que palestiniennes, iels prolongent en France la rhétorique fémonationaliste de l’État Israélien.
L’Assemblée Féministe Transnationale s’est réunie le 27 janvier 2024, autour d’une table ronde et de groupes de travail, pour la première rencontre d'un cycle « Féminisme, guerres et impérialisme ». Voilà ce que nous en retenons.
En Géorgie, des mobilisations contre les expulsions de familles victimes de taux rapaces pratiqués par les banques géorgiennes subissent de violentes répressions.
Nous relayons l'appel des camarades pour l'arrêt immédiat des expulsions, la libération des militants et l’abandon des charges et amendes qui pèsent sur elleux.
La lutte pour le logement et contre la pauvreté est une lutte féministe.
L'Assemblée féministe transnationale amorce un cycle consacré à « Féminisme, guerres, impérialismes » au long de l'année 2024. Dans la période violente que nous traversons, la solidarité, l'autodéfense et l'auto-éducation féministes sont plus que jamais nos armes.
Face à l’urgence de la situation en Palestine nous appelons de toutes nos voix à un cessez-le-feu et au démantèlement de la structure d’apartheid de l’État d’Israël.
Notre féminisme est en lutte contre tous les impérialismes. Nous refusons l'injonction à nous situer dans un esprit campiste et réactionnaire, comme de niveler nos exigences d’égalité radicales et d’émancipation pour toustes.
Par Verónica Gago et Luci Cavallero. Pour analyser le retour en force de Massa et son contexte, il faut prendre en compte le désespoir économique de la précarité quotidienne, ainsi que la politisation féministe. Il faut comprendre l'articulation entre l'économie quotidienne et les modes d'intervention, à de multiples niveaux, du mouvement féministe.
À l’heure où nous parlons, une vie palestinienne est fauchée toutes les 5 minutes sous les bombes de Tsahal dans Gaza assiégée, assoiffée et affamée. L’État arme des colons de Cisjordanie en masse. Nous n’avons pas d’autre choix que de crier à plein poumons : fin des bombardements !