À partir du 16 octobre prochain se jouera l’avenir incertain d’un procès pénal de l’amiante. Les victimes de ce matériau cancérogène vont entamer une série de procédures contre les décisions de non-lieu prononcées en décembre 2018. Nous attendons que la Cour d’appel de Paris rétablisse la vérité. La justice éviterait un naufrage et l’absurdité d’une décision lourde de conséquences pour la santé publique.
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