Après un premier assouplissement l’année dernière, avec la suppression de la notion de détresse, la procédure de l’IVG a, à nouveau, été simplifiée, allégée, grâce à la suppression du délai de réflexion de sept jours, entre les deux consultations médicales obligatoires, imposé aux femmes choisissant de faire une IVG.
Impressionnée par la révolution tunisienne et curieuse des suites qui y seraient données, je me suis rendue à plusieurs reprises dans le pays après le 14 janvier 2011. Ces séjours à moins de deux heures d’avion, juste de l’autre côté de la Méditerranée, dans un pays dont nous partageons un peu d’histoire, dans lequel nous sommes nombreux en France à avoir des amis, ont été plein de surprises.
Les élections cantonales ne semblent pas passionner. C’est dommage, car les élus de cette collectivité ont la responsabilité de politiques sociales majeures, importantes pour nombre de nos concitoyens : petite enfance, handicap, personnes âgées, insertion. Indépendamment de cet enjeu, l’élection de cette année présente des nouveautés qui méritent l’attention : nouveau découpage et scrutin binominal.
Comme tout le monde, je souhaite que l’on permette à chacun de vivre et de mourir dans la dignité. Quant à savoir ce que signifie « mourir dans la dignité », c’est là quelque chose de plus difficile à définir. En effet, cette question ne se résout pas à partir de la position que l’on occupe sur l’échiquier politique. Il n’y a pas une réponse de gauche et une réponse de droite sur la fin de vie.
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