Écologiste radicale antiraciste et décoloniale #PEPS, martiniquaise, ex-conseillère régionale d'Île de France, conseillère municipale et communautaire de Melun
Melun - France
Je publie ici le lien vers une tribune "Le choix de l'insoumission" écrite par Francine Bavay, Sergio Coronado, Patrick Farbiaz et moi-même parue dans l'édition du 2 décembre 2016 des Invités du club de Mediapart.
Mon intervention au conseil régional Île de France suite à la décision de notre groupe EELV-A d'interroger la présidente de région Valérie Pécresse sur l'absence d'une politique régionale d'accueil des migrant-es.
Mon intervention contre le rapport CR 189-16 présenté par Mme Valérie Pécresse et son exécutif « Soutien exceptionnel à l’achat de semences pour la récolte 2017 » et où on peut lire : « La Région entend donc apporter son soutien aux exploitations en grandes cultures pour préserver leur compétitivité » et « le soutien régional portera sur une aide à l’acquisition de semences certifiées »
Je publie ici le lien vers une tribune que nous avons écrite avec Francine Bavay, Sergio Coronado et Patrick Farbiaz et qui est parue dans "les invités de Mediapart"
Globalement, le projet de Valérie Pécresse pour l’école oscille entre deux positions contradictoires et pourtant également réactionnaires : la restriction des libertés politiques et individuelles des élèves et la libéralisation économique. En clair : le bâton pour les élèves, la permission pour les entrepreneurs privés de l’éducation.
Mme la Présidente,
Vous prétendez augmenter le budget d’investissement pour les lycées de 5,5% par rapport à la prévision d’exécution 2015. Vous annoncez fonder votre budget sur la conviction que le lycée doit devenir le lieu de "la promotion sociale, de l’ambition et de la réussite". Or, Mme la Présidente (...)
Cette lettre a été publiée le 24 février 2016 sur le blog des invités de Mediapart. Vous pouvez la lire en suivant le lien ci-dessous :
https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/240216/lettre-ouverte-emmanuelle-cosse
La première séance plénière du Conseil Régional d’Île de France a été marquée par le vote de mesures particulièrement rétrogrades et d’une grande violence symbolique pour notre société tout entière. La première est également particulièrement injuste et discriminatoire pour celles et ceux qu’elle concerne, les étranger-es en situation irrégulière (...)
Pour les populations franciliennes les plus fragiles, les inégalités sociales et environnementales se cumulent et se renforcent. Elles constituent de fait les deux faces de la relégation sociale croissante des classes populaires qui, rappelons le, forment la grande majorité de la population active dans notre pays.