Dans l’édition du Monde datée du 10 septembre, on pouvait lire un long papier sur la réforme annoncée du marché du travail. L’article (disponible ici) confirme l’intérêt du gouvernement pour les propositions du rapport Combrexelle, qui suggère de faire descendre d’un cran le niveau des protections collectives pour les faire passer de la loi au niveau des accords de branches voire des entreprises.
C'était assez net dans ma tête. Cela s'est passé lors du vote en première lecture de la loi Renseignement (ou loi Surveillance) : je me suis dit à ce moment précis que j'avais atteint le bout de la sidération. Que plus rien ne pourrait ni m'étonner ni me mettre en colère de la part de ce gouvernement.
Le 6 mars prochain se tiendra un meeting contre l’islamophobie et les dérives sécuritaires. Mon premier réflexe ? "Intéressant, j’irais bien faire un tour". D’ailleurs, ce meeting est annoncé dans l’édition « Les Invités de Médiapart », une valeur sûre d’habitude.
Il est des fois des paradoxes si gros qu’ils ne cessent d’étonner. Comment expliquer que la plupart des gens vous théorisent que la féminisation des noms est un sujet périphérique et que, lorsque ce sujet arrive dans l’actualité, il déclenche les foudres et les passions. Comment un sujet si peu utile au dire de ses détracteurs peut-il autant les passionner ?
Vous en avez marre du sexisme ? Vraiment marre ? Voire carrément ras le bol ?Le 14 octobre, le site MACHOLAND.FR, site d'action anti-sexiste ouverte à chacune et chacun ouvre et il est fait pour vous !
Problème : comment justifier les 300 millions d'économies budgétaires qui seront réalisées en rabotant le congé parental ? Réponse : en parlant d'égalité pardi ! Personne ne peut être contre l'égalité entre les femmes et les hommes* donc tout le monde devrait être d'accord avec la réforme proposée.
Le 1er juillet 2014, quatorze responsables politiques membres des socialistes affligés, d’EéLV, d’Ensemble!, de Nouvelle Donne, du PCF, du PG, féministes et acteurs du mouvement social, ont exprimé dans une tribune leur inquiétude pour l’avenir de la gauche.
Depuis sa nomination au ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Najat Vallaud Belkacem subit une volée d’attaques et d’injures sexistes, racistes, misogynes, émanant à la fois de certains membres du personnel politique, de certains médias, de certains sites internet, de certains individus ou groupes s’exprimant sur les réseaux sociaux.