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En 1917, en langue anglaise, paraissaient les Idéaux politiques de Bertrand Russell, compilation de cinq conférences tenues l'année précédente en Ecosse, et inédites jusqu'à ce jour en français. Russell était alors un philosophe reconnu et un militant pacifiste et socialiste fort peu apprécié du pouvoir grand-britton.
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On prête à François Mitterrand ces mots : « Dans ces pays-là, un génocide, ce n'est pas trop important ». Nous étions alors en 1994, et au Rwanda, des centaines de milliers de personnes venaient d'être liquidées sur les ordres d'un pouvoir aux abois...
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On ne sait si on doit applaudir ou se gausser de la réédition par les éditions Ecosociété d'Au-delà de la rareté, un recueil de textes de l'anarchiste et écologiste américain Murray Bookchin, figure de proue de l'écologie sociale.
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C’est bien connu, le travailleur, grégaire et conservateur, voit d’un mauvais œil les mutations et évolutions technologiques. Le patronat va de l’avant, le travailleur freine des quatre fers ; ainsi va le capitalisme depuis plus de deux siècles.
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De nouveau, les éditions Ni Patrie ni frontières revisitent la guerre d'Espagne. Après la publication d'une partie des écrits de l'obscur Grandizo Munis et celle du rapport Rüdiger, elles nous offrent la publication de la correspondance entre Diego Camacho, plus connu sous son nom de plume d'Abel Paz, et Juan Garcia Oliver, tout cela présenté et commenté par l'historien-militant Agustin Guillamo
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« Impérialisme, guerre et lutte de classes en Allemagne 1914-1918 » est le premier tome d'un triptyque qui ne vît malheureusement pas le jour. Ecrit en 1924, il est l'oeuvre de Paul Frölich, un militant révolutionnaire de premier plan, ami intime de Rosa Luxembourg, à laquelle il consacra d'ailleurs une biographie.
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Il est évidemment fort désagréable de souiller son escarpin et sa basket avec de l'excrément de Pékinois, abandonné là au beau milieu d'un trottoir. Quand je parle de Pékinois, je parle évidemment du chien et non du ressortissant de la capitale chinoise.
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Depuis plusieurs années maintenant, il n'est pas rare que des manifestations dégénèrent à Nantes, Rennes, Paris ou ailleurs.
Pour certains, ces violences, ces atteintes aux biens publics ou privés et aux personnes assermentées (les forces de l'ordre) sont inacceptables et à condamner. I
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Que faire de ces pauvres hantant les rues des villes dans une France de la Troisième République en pleine mutation industrielle ? Peut-on en bon chrétiens les laisser dans la misère ou, pour éviter le pire (le désordre !), doit-on leur venir en aide ?