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Le blog de DAL fédération

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Raffut de Noël des sans-logis et des mal-logé·es : un toit, c’est un droit !
Les familles mal-logés ou sans-logis en lutte et leurs enfants organisent mercredi 25 décembre le raffut de noël sur la place Clemenceau, où s’est installé le camp des familles prioritaires DALO (droit au logement opposable), qui se relaient jour et nuit. Parmi elles, une majorité de femmes qui, malgré le froid et la pluie, demandent un engagement fiable de relogement conformément à la loi, et un hébergement pour les personnes sans-abris. -
Non a la campagne d'expulsions de travailleurs immigres africains des foyers ADOMA
ADOMA, gestionnaire de foyers de travailleurs migrants devenus résidences sociales, et filliale de CDC-HABITAT, et donc de l'État, expulse sans pitié des travailleurs migrants en Seine-Saint-Denis parce qu'ils accueillent leurs proches. Le COPAF membre de la Fédération DAL réagit contre ces expulsions à l'approche de la trêve hivernale, et en pleine recrudescence de l'épidémie. -
Loyers, l'angoisse de la fin du mois: agir contre l'inertie délibérée du pouvoir
Fin avril, plusieurs centaines de milliers de locataires et accédants n’ont sans doute pas pu payer leur loyer ou traite. Face au déni du gouvernement et au consentement implicite des bailleurs privés, il est utile d’apporter un éclairage sur les enjeux politiques dans le secteur du logement, vu de la fenêtre des habitant.e.s et de leurs fins de mois angoissantes et lourdes de menaces futures. -
Moratoire des loyers: le gouvernement le rejette, l'Allemagne fait un pas
Tandis que le projet de loi fédéral de lutte contre la pandémie présenté dans la semaine au parlement Allemand autorise les locataires en difficulté à suspendre le paiement des loyers durant l'épidémie, J. Denomandie, selon Le Parisien le 24-03-2020, a rejeté catégoriquement la demande de moratoire des loyers faites par les associations de locataires, de mal logés et plusieurs syndicats. -
Le logement cher est à la source de la colère sociale
Le logement est le premier poste de dépense des ménages et celui qui a le plus augmenté ces dernières décennies. Or cette question centrale sur le pouvoir d'achat, portée par les gilets jaunes, est ignorée dans les débats publics. Locataires et accédants se serrent la ceinture, et affrontent taxes, baisses de revenu ou des APL… Il faut baisser les loyers et taxer la spéculation immobilière.