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Le 11 avril 2025, pas moins de 32 multinationales de Big Pharma ont interpellé Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour exiger des règles plus souples sur les prix des médicaments, un allongement de la durée de leur monopole de commercialisation, conféré par les brevets, la révision de normes environnementales.
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Le 11 avril 2025, pas moins de 32 multinationales de Big Pharma ont interpellé Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, pour exiger des règles plus souples sur les prix des médicaments, un allongement de la durée de leur monopole de commercialisation, conféré par les brevets, la révision de normes environnementales.
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Pour une industrie pharmaceutique au service du droit à la santé. D’ici fin 2026, les laboratoires pharmaceutiques s’apprêtent à supprimer plus de 1600 postes en France. Nous appelons à un grand débat public sur le devenir de l’industrie pharmaceutique en France et en Europe, au service du droit à la santé pour toutes et tous.
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La moitié des prescriptions médicales ne peuvent être honorées par les pharmacies, suite aux pénuries de médicaments. D’ici fin 2026, les laboratoires pharmaceutiques s’apprêtent à supprimer plus de 1600 postes en France. Soit globalement la suppression de plus de 6400 emplois, car chaque emploi direct dans l’industrie pharmaceutique génère 3 emplois dans l’économie.
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[Rediffusion] Le modèle économique de délégation de l’État à des acteurs privés de produire et distribuer les soins de santé ne garantit pas l’indépendance sanitaire de la France. Ce constat est une incitation pour la société civile à s’emparer du sujet et de proposer de nouvelles formes d’organisation et de production d’un médicament bien commun, répondant aux besoins de la population.
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Quelle est l’alternative à l’emprise de la domination de l’Industrie Pharmaceutique sur la recherche, la production et la distribution des médicaments, sans sortir le médicament de la marchandisation, sans maîtrise par la société de sa politique de santé ?
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[Archives] Dans le contexte de la pandémie de Covid-19, en absence de traitements spécifiques, les vaccins demeurent essentiels pour endiguer l’épidémie, à condition qu’ils soient accessibles à tous les habitants de la planète... Or les États ont financé par milliards la recherche, les essais cliniques, la production, sans demander qu’en contrepartie les vaccins développés soit mis dans le domaine public.
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La crise sanitaire provoquée par le SARS-CoV2 a révélé au grand public l’interdépendance des pays. Elle est criante pour les produits pharmaceutiques et les médicaments, repose la question de la relocalisation de leur production. Comment les industries pharmaceutiques gagnent-elles sur tous les tableaux ?...Nouvelle publication du site www.medicament-bien-commun.org
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La pandémie Covid-19 met dramatiquement à nu le danger de laisser le contrôle des ressources stratégiques, comme « la connaissance » aux seules entreprises .. Pour les médicaments, les décennies précédentes ont largement démontré que les brevets se multiplient au détriment du droit universel à la santé. Ruptures nécessaires et pistes alternatives pour que le médicament soit un bien commun.
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Dans le cas du COVID19, les entreprises qui pourront concevoir les tests de dépistage, les traitements et les vaccins, disposeront d’une formidable rente de marché. Allons-nous assister, comme pour l’épidémie de SRAS, à une bataille pour s’assurer des droits de propriété intellectuelle (PI) ?