Pedro Sánchez a continué la politique de son prédécesseur en ce qui concerne la Catalogne. Mensonges, manipulation de l’information, répression, une attitude dépourvue de scrupules. Le « tout est bon » afin de sauvegarder l’unité de l’Espagne. Comme l’affaire des CDR.
L'Espagne a poursuivi en justice et a mis en prison les dirigeants politiques et de la société civile qui avaient participé à l'organisation du référendum du 1er octobre 2017. Ils risquent jusqu'à 25 ans de prison. D'autres se sont exilés.
Étant donné la situation politique extraordinaire de la Catalogne où des dirigeants du gouvernement destitué sont en prison ou en exil, la campagne pour les élections européennes devient plus compliquée.
Benoît Pellistrandi vient de publier un livre intitulé « Le labyrinthe catalan » qui prétend expliquer la situation catalane à qui veut bien le lire ou l’entendre car M. Pellistrandi est invité un peu partout sur les ondes françaises.
Les rapports entre l’Espagne et la «douce Catalogne» sont tendus, très tendus. Tellement, que le fil est pratiquement rompu. Comment en est-on arrivé là ? On a pu lire et écouter ici et là différentes opinions, qui reflètent, en général, une multiplicité de regards, chacun d’eux apportant, depuis une perspective singulière, une lumière nouvelle.