Le corona virus et les hoquets politiques de la vaccination nous invitent à rechercher dans le monde d'avant ce qui constitue notre faiblesse, afin d'imaginer ce que devrait être le monde d'après si la société était disposée à faire faire un "pas de côté" à son paradigme.
L'Assemblée nationale vient d'être saisie d'une proposition de loi LaRem/Modem/Agir qui vise à freiner la concentration des terres agricoles entre des mains qui en prennent le contrôle et les accaparent via des montages sociétaires et des achats de parts sociales. Si les intentions sont bonnes, le texte n'est pas de nature à arrêter les investisseurs.
Le passage de 5 à 6 doses de vaccin par fiole, décidé par la société Pfizer, est socialement et humainement contestable. On voit ici ce qu'il en coûte de compter sur la loi du marché pour gérer une crise sanitaire, comme on sait son inefficacité à nourrir les centaines de millions de personnes qui meurent de famine dans le monde. Pour des enjeux vitaux comme la santé et l'alimentation, il faudrait savoir raisonner autrement.